SLF - Les réactions françaises après les courses protugaises
Comme après chaque dimanche de course ToileF1
Comme après chaque dimanche de course ToileF1.com vous propose de retrouver les déclarations des pilotes français présent en SuperLeague Formule. Les réactions des pilotes roulant pour un club français sont aussi au programme.
Tristan Gommendy (Olympique Lyonnais) :
Course 1 : 11ème
Course 2 : 2ème
SuperFinale : 5ème ( 15’000€ de gains)
"Dans la Course 1, on a mis les pneus des séances d’essais qui avaient plus de 150 km ! On a fait exprès, car on ne pensait pas être si rapides ! A l’arrivée, je suis 11ème en partant 18ème, ce qui me place au milieu du peloton pour la course 2. C’était inespéré. Mon patron Anthony Reid a été impressionné par mon rythme et est venu me voir pour me féliciter. Mais malgré tout, il y a beaucoup de choses à revoir sur cette voiture. J’ai senti des boulons se désolidariser et se balader sous mes pieds ! C’était très difficile, mais on a pris de bonnes pistes avec mon ingénieur pour définir les réglages. On a pris l’orientation que je souhaitais et on a travaillé dans le bon sens. Tout ça me remet du baume au cœur. En SuperFinale, Corinthians me rentre dedans et c’est la course, il n’y avait rien à faire. Je veux remercier Lyon, car c’est eux qui ont souhaité me mettre dans la voiture ; je les remercie de leur confiance. Ils avaient le choix entre pas mal de pilotes et m’ont choisi ; ils souhaiettn finir la saison avec moi, alors ça fait plaisir."
Julien Jousse (AS Roma) :
Course 1 : 13ème
Course 2 : 9ème
"La voiture se comportait bien avec des pneus neufs, mais en dehors de ça, ça n’allait pas comme je voulais. C’est difficile pour l’équipe de dire ça, mais la voiture était tout de même assez « déposée » la plupart du temps. Je n’ai pas eu de soucis physique à enchaîner ce week-end SuperLeague et FIA GT1, mais j’aurais bien entendu aimé que mon résultat d’ensemble soit meilleur avec la SuperLeague. Sur la Course 2, j’ai une baisse de pression dans le tour de formation, ce qui fait que je me retrouve en excès de température une fois sur la grille. Le moteur était à 125°C. Le système d’alerte s’est mis en marche et le limiteur s’est décalé : il a fallu quatre virages et beaucoup d’air dans les entrées pour que les choses rentrent dans l’ordre. C’est ensuite que j’ai pu gagner des positions avec les pneus neufs. Mais une fois abîmés, la voiture était inconduisible. Il faut tout reprendre à zéro pour la suite, car la voiture n’allait pas du tout comme il fallait ce week-end."
Celso Miguez (FC Girondins de Bordeaux)
Course 1 : 18ème (abandon)
Course 2 : 14ème (abandon)
"J’ai pris un départ correct en Course 1, mais n’ai pas voulu prendre de risques en tentant quelque chose risquant de me laisser sur le carreau. C’est toujours délicat en Course 1, car si vous endommagez la voiture, votre Course 2 peut être également compromise si le team n’a pas le temps de réparer l’auto. Après quelques tours, j’ai essayé de passer Maria de Villota à l’intérieur ; j’avais de la place, mais elle a fermé la porte et nous nous sommes touchés assez fort pour que mon auto ne soit plus en état de poursuivre la course. En Course 2, ça a été un cauchemar, puisque j’ai abandonné après être parti de la première place sur la grille. J’ai complètement perdu la voiture dans la dernière accélération du tour ; je ne pouvais rien faire, le volant vibrait énormément et bougeait tout seul. Je me déplaçais plus que je pilotais. Comme il fallait passer à fond malgré tout, j’ai tenté, et l’arrière s’est dérobé. Fin de l’histoire."
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