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SLF - Réaction des pilotes français après Brands Hatch

Voici les réactions des quatre pilotes français suite à leur meeting à Brands Hatch

Voici les réactions des quatre pilotes français suite à leur meeting à Brands Hatch.

Franck Montagny (FC Girondins de Bordeaux):


Course 1 : 5ème


Course 2 : 14ème


42 pts inscrits ce week-end


"La première course était bien. On a fait de purs temps sur 25 tours avec les pneus neufs ; on était les plus vite en piste. A la seconde, on part de loin, et pour les arrêts, on attend énormément avant de pouvoir entrer aux stands. J’aurais eu le temps de passer prendre du pain à la boulangerie ! Je suivais mon coéquipier qui devait entrer, mais il n’entrait jamais, et c’était à lui de le faire en premier. Du coup, j’ai dû rester en piste. Quand je rentre, les pneus sont finis et on perd des places. Si tout le monde entre au premier tour des fenêtres de ravitaillement, c’est qu’il y a un avantage à en tirer. C’est ce qu’on aurait dû faire. Il y a eu une mésentente. C’est très frustrant. Je suis énervé. Sur le crash, honnêtement, il n’y a plus rien de la voiture. Elle est en mille morceaux et quand on voit la voiture, on a peur que le pilote aussi. Il avait la tête sur le côté quand je suis passé, ça avait l’air méchant."

Franck Perera (Olympique Lyonnais) :


Course 1 : 12ème


Course2 : 9ème


34 pts inscrits ce week-end


"En course 2, globalement, le départ a été une loterie. J’étais en bagarre avec Flamengo. Il m’a passé, et je restais dans son rythme. Mais mon arrêt ravitaillement ne s’est pas très bien passé, on a perdu du temps et je suis ressorti derrière Martinez (Séville) que je n’ai pas pu doubler. C’est vraiment très difficile ici. Quand je vois Flamengo finir sur le podium, je me dis qu’on avait quelque chose à faire. On est partis ce week-end sur des réglages totalement nouveaux par rapport à ce que Bourdais avait initié avec le team ; pour ne pas dire à l’opposée. Il a fallu prendre des repères, et les Anglais connaissaient très bien le circuit. En course 1, je fais le 6ème temps en course, donc je sais qu’on est sur la bonne voie. Il nous reste une journée de tests à utiliser, et je pense que cela va nous aider à arriver plus forts. J’ai très envie de continuer le travail avec Lyon."

Julien Jousse (AS Roma) :


Course 1 : Abandon (16ème)


Course 2 : 5ème


32 pts inscrits ce week-end


"Dans le gauche en montée, je sors plus lentement que Van der Drift, qui active le push-to-pass et tente de me passer par la droite alors que j’y suis déjà et qu’il n’y a selon moi pas de place. Ce n’était pas une bonne opportunité. C’est très bosselé, et c’est peut-être pour ça qu’ il touche mon arrière droit. Tout s’est passé très vite. J’ai regardé mes rétros et vu qu’il se crashait. Quand je suis repassé au tour suivant, j’ai vu que la voiture était complètement détruite ; j’espère qu’il va bien. La différence de vitesse entre nous était vraiment énorme. Ma première course était elle catastrophique. Je perds deux places au départ, je pense que Gommendy le « vole ». Après le pit-stop, je suis en vieux pneus et les problèmes de pression d’essence sont revenus. Un filtre s’était retourné et ça ne filtrait pas assez d’essence. Je n’ai pas marqué de points… C’est vraiment un week-end très difficile, et j’espère que tout ira mieux pour la suite."

Tristan Gommendy (Galatasaray) :


Course 1 : 8ème


Course 2 : 17ème


23 pts inscrits ce week-end


"La première manche était raisonnable, j’ai pris un bon départ et je regagne quelques places après un arrêt au ralenti. En course 2, je n’ai pas eu la confirmation radio de mon appel pour mon arrêt aux stands au moment de l’ouverture de la ligne des stands. Pendant trois tours, je n’ai pas eu de panneau. On m’a signifié « in » par panneau au cinquième tour seulement mais personne ne disait rien à la radio, même quand je demandais. Du coup, c’était confus, et je suis entré tard. Quand j’entre, je suis seul à juger. J’avais peur que ce soit au tour de mon coéquipier Franck Montagny, et je ne voulais pas lui ruiner sa qualification pour la SuperFinale. Pour finir, je prends l’embrayage dans la figure…"

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