Spa-Francorchamps du point de vue pneumatique
La clé de la performance, à Spa, c’est de pouvoir diffuser dans les pneumatiques l’énergie colossale engendrée par la piste
La clé de la performance, à Spa, c’est de pouvoir diffuser dans les pneumatiques l’énergie colossale engendrée par la piste. Dans le Raidillon, par exemple, les moteurs tournent à plein régime et les voitures filent à plus de 300 km/h, tandis qu’une compression applique des forces respectives de 1 et 5 g en vertical et en latéral.
La structure et la bande de roulement du pneumatique subissent une contrainte rencontrée nulle par ailleurs durant la saison.
La gomme « Medium » offre la fenêtre de performance la plus réduite, capable du meilleur même en cas de basses températures, fréquemment rencontrées à Spa. La gomme « Soft » contraste avec un cadre d’usage plus important lorsque le thermomètre grimpe. La pluie n’est pas rare, mais elle a brillé par son absence lors des dernières 24 Heures de Spa, le mois dernier, et avait épargné l’édition 2013 du Grand Prix de Belgique.
Les faibles appuis affectent par ailleurs le freinage, car la diminution des forces verticales peut engendrer des blocages de roues, et donc des plats très handicapants sur les pneus.
L’an passé, Sebastian Vettel s’est imposé depuis la deuxième place sur la grille en bouclant deux relais en « Medium » avant de conclure avec les pneus « Durs » (nominés en 2013). Chez Lotus, Romain Grosjean a coupé la ligne d’arrivée en 8e position en n’ayant respecté qu’un seul et unique arrêt.
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