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Stroll et Bakou 2017 : "Aujourd'hui, je gagnerais probablement"

Près d'un an plus tard, le Canadien est convaincu qu'il aurait pu remporter le Grand Prix d'Azerbaïdjan à Bakou s'il avait adopté un comportement plus agressif face à Daniel Ricciardo après l'interruption par drapeau rouge.

Lance Stroll, Williams

Lance Stroll, Williams

Sutton Motorsport Images

Daniel Ricciardo, Red Bull Racing RB13, Lance Stroll, Williams FW40
Le troisième, Lance Stroll, Williams
Lance Stroll, Williams FW40
Le vainqueur Daniel Ricciardo, Red Bull Racing et Lance Stroll, Williams lors de la conférence de presse
Lance Stroll, Williams FW40
Lance Stroll, Williams, David Coulthard
Lance Stroll, Williams lors de la conférence de presse
Lance Stroll, Williams FW40
Les mécaniciens Williams fêtent la troisième place de Lance Stroll, Williams FW40
Lance Stroll, Williams
La voiture de sécurité
Fernando Alonso, McLaren, le troisième, Lance Stroll, Williams
Lance Stroll, Williams, fête sa troisième place dans le Parc Fermé
Lance Stroll, Williams FW40, est salué par ses mécaniciens à l'arrivée

Lors de la relance du Grand Prix, Lance Stroll occupait la troisième place du Grand Prix, derrière Lewis Hamilton et Sebastian Vettel. Daniel Ricciardo avait alors effectué un dépassement spectaculaire en plongeant à l'intérieur du virage 1, au 23e tour, doublant à la fois Nico Hülkenberg, Felipe Massa et Stroll.

Avec le recul, le pilote Williams pense qu'il agirait différemment aujourd'hui, et qu'il fermerait la porte au pilote Australien, alors que sa monoplace de l'an passé avait des performances lui permettant de résister sur ce type de tracé.

"Si c'était aujourd'hui, je gagnerais probablement la course", estime Stroll auprès de Motorsport.com. "Je défendrais davantage face à Ricciardo au virage 1 si je savais qu'il pouvait plonger de si loin. Mais il a fait le boulot."

"J'ai freiné tôt car il se passait beaucoup de choses au restart, et à cause des pneus ; tout le monde avait du mal avec des pneus très froids. J'ai freiné tôt, sans vraiment savoir qu'il était là. Mais quand j'ai vu quelqu'un arriver dans mon rétroviseur, je savais qu'il était engagé et que je ne pouvais pas tourner, sinon nous allions nous accrocher. Il était trop tard."

"C'est toujours facile à dire, évidemment, car tout le monde peut faire mieux en revoyant une course, mais c'est ce que je vois avec le recul. Le reste était plutôt bon."

Les armes pour résister ?

Une fois dépassé par Ricciardo, Stroll n'avait pas pu répondre et avait laissé le pilote Red Bull filer vers la victoire suite aux incidents ayant affecté Vettel et Hamilton. Longtemps deuxième, il allait finalement terminer sur la troisième marche du podium après s'être incliné juste avant le drapeau à damier face à Valtteri Bottas.

En résistant à Ricciardo et en le maintenant derrière lui pendant plusieurs tours, Stroll est persuadé que le scénario aurait été très différent : "Je savais que nous pouvions lui résister, car ils [Red Bull] avaient des problèmes. Je me souviens que mon ingénieur me disait qu'ils avaient des problèmes de surchauffe et qu'ils devaient nous dépasser."

"Je savais que nous avions aussi une très bonne vitesse de pointe, alors je crois que nous aurions pu les retenir. Mais voilà, je crois qu'il a fait un formidable dépassement et, oui, avec le recul, j'imagine que j'aurais probablement dû fermer un peu plus la porte, c'est certain.

Toujours est-il que ce podium déjà inespéré avait permis à Lance Stroll de faire taire une partie des sceptiques après son début de saison 2017 compliqué. Il avait ouvert son compteur points peu de temps avant au Canada, à domicile, mais se souvient surtout du week-end de Bakou comme étant idéal pour sa monoplace.

"Nous avions très peu de handicap, la voiture semblait très facile à piloter, et tout allait bien", souligne-t-il. "C'est peut-être la nature de notre voiture qui convenait à ce circuit. Je ne pense pas que nous ayons encore toutes les réponses, toutes les raisons, mais le type de virage, les longues lignes droites… Je pense que la voiture était vraiment bonne dans les virages. Et nous avions évidemment une voiture très compétitive en ligne droite, donc ça convenait probablement très bien à notre package." 

Propos recueillis par Oleg Karpov

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