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Verstappen a préparé ses dépassements sur un jeu vidéo

Lors des deux derniers Grands Prix, le pilote Toro Rosso a appliqué des méthodes de dépassement répétées dans un jeu vidéo.

Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10 et Jenson Button, McLaren MP4-30 en lutte pour une position

Photo de: XPB Images

Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10 s'arrête aux stands
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso lors de la parade des pilotes
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10
Max Verstappen, Scuderia Toro Rosso STR10

Durant l’été, Max Verstappen a intégré la communauté de la simulation automobile iRacing et a utilisé cet artifice pour travailler ses manœuvres de dépassement. Le plus jeune pilote de l’Histoire de la Formule 1 est décidément d’une autre génération, et il assure que ce procédé l’a déjà aidé à progresser. 

A Spa-Francorchamps comme à Monza, le pilote Toro Rosso s’est fait remarquer en piste avec deux dépassements osés et réussis, à chaque fois sur la Sauber de Felipe Nasr. Son passage à la limite à l’extérieur dans Blanchimont, lors du Grand Prix de Belgique, reste un grand moment. Cela lui avait permis d’aller décrocher la huitième place finale. 

Ces dépassements, aussi bien en Belgique qu’en Italie, Verstappen les a travaillés à de multiples reprises sur iRacing. Ces exploits virtuels figurent d’ailleurs dans une vidéo rendue publique, que vous pouvez retrouver ci-dessous. Pour le jeune pilote, il ne fait aucun doute que cela l’a aidé à mieux connaître les pistes pour savoir où il pouvait tenter une manœuvre audacieuse, et également là où il était impossible de prendre le moindre risque.

 

"C’est toujours bien car vous savez combien d’espace vous avez", estime Verstappen. "Dans le simracing, parfois vous allez un peu trop loin et vous savez que vous ne pouvez pas le faire."

Du virtuel au réel, la frontière séparant les deux mondes ne serait plus qu’infime aujourd’hui? Pour le moment, les faits donnent raison à Verstappen, qui a pu s'entraîner sur des versions scannées au laser des deux pistes mythiques.

"Je crois que cela m’aide", assure-t-il. "Je l’ai fait à Spa et je l’ai fait de nouveau à Monza, et par deux fois cela a fonctionné en réalité sur le circuit. Le dépassement que j’ai fait sur Nasr, j’avais fait exactement le même sur le simulateur."

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