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Vettel et l'attribution des points : "C'est n'importe quoi"

Sebastian Vettel est de ceux qui ne comprennent pas pourquoi des points ont été attribués au terme du Grand Prix de Belgique, dont le départ réel n'a jamais été donné.

Sebastian Vettel, Aston Martin AMR21

Photo de: Jerry Andre / Motorsport Images

Comme plusieurs autres pilotes de la grille, parmi lesquels Lewis Hamilton et Fernando Alonso, Sebastian Vettel a confié une gêne évidente à l'idée d'inscrire des points au terme du Grand Prix de Belgique. La course a été considérée comme ayant eu lieu en raison des tours effectués derrière la voiture de sécurité, ce qui a permis d'attribuer la moitié des points. Une règle que Vettel ignorait d'ailleurs.

Le quadruple Champion du monde a ainsi inscrit les cinq points représentants la moitié de ceux habituellement attribués au cinquième, d'abord à son plus grand étonnement, mais aussi sans les considérer comme mérités. "C'est n'importe quoi", a-t-il dénoncé. "Je crois que si l'on veut récompenser les qualifications, il faut donner des points pour les qualifications. Qu'avons-nous fait aujourd'hui ? Je pensais qu'il fallait faire 25% de la course pour marquer des points. Vous avez vu comme je suis vieux ! Ce n'est pas un truc auquel on pense vraiment."

Critique envers l'attribution des points, l'Allemand ne l'est en revanche pas du tout envers la décision de ne pas donner le départ de l'épreuve. Cette dernière a d'ailleurs fait l'unanimité compte tenu des conditions exécrables qui touchaient le circuit de Spa-Francorchamps. "Personne ne veut que quelqu'un se blesse, ni dans la voiture ni dans le public", rappelle Vettel. "C'est toujours la priorité numéro un. Ce n'est probablement pas une décision populaire, mais c'est la bonne décision par rapport aux conditions que nous avions."

"La voiture de sécurité est vraiment lente pour nous", ajoute-t-il. "J'étais cinquième et j'avais du mal à voir. Je devais vraiment m'assurer de ne pas perdre Daniel de vue, car on voit la lumière très, très tard et il n'y a pas de place. Je pense que plus loin derrière, c'était encore pire. C'était probablement la bonne décision mais sûrement une grosse déception, surtout pour les gens qui ont attendu dans le froid et sous la pluie."

"C'était la même chose la deuxième fois que nous avons pris la piste, et il y avait plus de pluie à venir, donc on pouvait le sentir venir. Il y avait des décisions difficiles à prendre, en restant longtemps à attendre, en laissant les gens dans l'attente. C'est probablement la bonne décision, ça n'allait pas s'améliorer et il commençait à faire de plus en plus sombre."

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