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Selon Vettel, le DRS va creuser les écarts en qualifications

Sebastian Vettel craint que l'utilisation du DRS dans les rapides premiers virages de Silverstone ne creuse les écarts au Grand Prix de Grande-Bretagne.

Lewis Hamilton, Mercedes AMG F1 en tête au départ

Photo de: JEP / Motorsport Images

La FIA a ajouté une troisième zone DRS, qui est active de la ligne droite des stands au freinage qui suit le rapide enchaînement droite-gauche d'Abbey et Farm. Abbey est un virage à droite déjà délicat à négocier sans DRS, et le manque d'appui à l'arrière rendra les voitures encore moins stables.

Sebastian Vettel trouve cette décision "un peu déroutante" et n'est "pas sûr du but recherché".

"C'est assez délicat", déclare l'Allemand. "Je ne sais pas si nous pouvons le faire avec le DRS ouvert ou non. Il faut essayer, avec le [nouvel] asphalte, ces pneus, etc. Si quelqu'un a de bonnes chances de le faire, c'est nous, vu que nous sommes les grandes équipes avec beaucoup d'appui. Donc je ne sais pas si l'intention était de creuser les écarts sur la grille. Je suis sûr que les autres ont moins d'appui que nous et auront donc probablement davantage de difficultés."

Nico Hülkenberg approuve : "Les trois top teams sont dans leur propre monde de toute façon, donc ça ne va rien changer à ma vie." La Renault peut-elle passer à fond avec le DRS ? "J'en doute, à vrai dire. Cela dépend de la voiture, cela dépend de l'adhérence de cette nouvelle surface, du réglage d'aileron dont on dispose."

Red Bull est considéré comme l'une des équipes qui ont les meilleures chances de prendre ces virages à fond avec le DRS. Max Verstappen indique qu'il va "certainement tenter", mais son coéquipier Daniel Ricciardo se méfie des charges supplémentaires que cela infligera aux pneus arrière.

"La corde est très courte et incisive", analyse l'Australien. "Il faut essayer de ne pas tourner avec trop d'agressivité, essayer de parler à la voiture, essayer de lui dire qu'elle tourne sans DRS au lieu de la surprendre. Si nous y parvenons, ce sera un avantage car je ne crois pas que tout le monde va pouvoir le faire. Mais si nous dérapons, perdons de la vitesse et tuons les pneus, nous risquons d'être plus lents."

Bien que le pilote Haas Romain Grosjean soutienne la théorie selon laquelle cette décision pourrait contribuer aux dépassements au gros freinage de Village et dans le lent virage à gauche de Loop, la plupart des concurrents pensent que cela ne représentera qu'un gain en qualifications.

Ricciardo pense que le DRS vaudra un à deux dixièmes de seconde, ce qui en fait un "choix critique" selon le pilote Renault Carlos Sainz : "C'est beaucoup de temps au tour si on le fait. Je ne m'attends pas à ce que quiconque prenne ce virage à fond avec le DRS derrière une autre voiture, c'est pourquoi je ne comprends pas vraiment si ça a été fait pour contribuer aux dépassements. En conditions de corse, tout le monde fermera le DRS avant ce virage. Cela n'aidera pas beaucoup à dépasser."

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