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Williams demande des budgets capés "pour la survie de la F1"

Valtteri Bottas, Williams FW37

Valtteri Bottas, Williams FW37

XPB Images

Felipe Massa, Williams FW37
Valtteri Bottas, Williams F1 Team
Claire Williams
Valtteri Bottas, Williams FW37
Bernie Ecclestone, avec Claire Williams, Team Principal de Williams
Valtteri Bottas, Williams FW37, s'arrête au stand
Robert Fernley, Sahara Force India F1 Team, et Claire Williams, Williams

L'année passée, Williams semblait être le principal rival de Mercedes en vitesse pure. L'écurie de Sir Frank avait été la seule autre équipe à signer une pole position, monopolisant la première ligne du Grand Prix d'Autriche.

Cette année, Williams semble avoir quelque peu reculé dans la hiérarchie, mais souligne des progrès dans son organisation. C'est ce qui permet à l'écurie, malgré un budget plus faible que celui des grandes équipes, de tenir le rythme au niveau des développements.

"Nous n'apportons plus des tonnes d'évolutions et de nouvelles pièces sur la voiture," déclare Claire Williams pour le site officiel de la Formule 1. "Tout doit passer le test en soufflerie et dans le simulateur pour s'assurer que cela fonctionne avant que nous ne l'apportions sur la voiture dans un weekend de course. Nous avons désormais un processus de développement très efficace."

Contre une éventuelle interdiction des souffleries

De nombreuses discussions ont lieu en ce moment pour assurer la pérennité de la Formule 1. Une des mesures évoquées était l'interdiction des souffleries ou la réduction du temps qui y est passé, mais c'est quelque chose que Williams ne verrait pas d'un très bon œil.

"Limiter la soufflerie? Non, ça ne serait pas bon pour nous," estime Claire. "Nous avons deux souffleries dans lesquelles nous avons investi des dizaines de millions de dollars lors des vingt dernières années."

"Mais il est trop tôt pour dire 'interdisez ceci, interdisez cela'. Il faut analyser les conséquences de telles décisions, ce qu'elles signifient pour chaque équipe, car toutes les équipes ont leur propre façon de développer leur voiture."

Lire aussi - Pourquoi ce sont les règles et non les F1 qui déterminent le spectacle

En effet, les souffleries ne sont pas le seul débat en cours. Dans un contexte où de nombreuses écuries sont en difficulté financière, les grandes équipes demandent avec vigueur l'introduction des voitures clientes, tandis que les écuries indépendantes s'y opposent farouchement.

Chez Williams, on préférerait que des budgets capés entrent en vigueur pour restreindre les dépenses des formations les plus puissantes.

"Si Williams avait son mot à dire, ce seraient les budgets capés, purement pour la survie de la F1," poursuit Claire Williams. "Nous en avons besoin. Mais il faut que ce soit réaliste. Cela a pour but d'égaliser les chances de chacun. Je crois fermement que si la F1 veut être un vrai sport, les équipes doivent disposer des mêmes chances, et on peut partir de là."

"Notre réglementation, et les restrictions qui vont avec, d'un point de vue de réduction des coûts, c'est un succès. Mais a-t-elle amélioré le spectacle? Ce sont les questions que nous devons nous poser. Nous devons vendre notre sport, et d'une façon positive," conclut la Britannique.

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