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Redécouvrir la Williams après la Mercedes : pas évident pour Russell !

George Russell l'admet volontiers : après avoir piloté la Formule 1 la plus rapide de l'Histoire, reprendre le volant de sa Williams n'a pas forcément été évident.

George Russell, Williams FW43

Photo de: Charles Coates / Motorsport Images

Quelques jours après avoir manqué de remporter le Grand Prix de Sakhir pour Mercedes à cause d'une bévue de son équipe au stand puis d'une crevaison, George Russell était de retour chez Williams à Abu Dhabi, Lewis Hamilton ayant eu un test négatif au COVID-19 à temps pour disputer le dernier Grand Prix de la saison au volant de la Flèche d'Argent.

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Après avoir passé le second week-end bahreïni au volant d'une Mercedes W11 qui peut être considérée comme la F1 la plus rapide de tous les temps, Russell s'est refamiliarisé avec sa Williams FW43, une voiture de fond de grille. Manifestement, c'est ce second changement qui s'est avéré le plus compliqué, en raison d'un comportement moins prévisible de la part de la monoplace conçue à Grove.

"En fait, c'était probablement plus dur de remonter dans la Williams, car la Mercedes est si bonne !" s'exclame le Britannique. "Ce que donne la Mercedes, c'est ce que tout pilote veut d'une voiture de course, et on le sent. Le pilote contrôle la Mercedes, alors que parfois, c'est presque comme si notre voiture contrôlait le pilote. Nous devons y réagir. Il est forcément naturel, quand on a une super voiture, que ce soit un vrai plaisir à piloter. Et c'est peut-être pour ça que j'ai trouvé le rythme relativement vite à son volant."

George Russell, Williams Racing, sur la grille pour la photo de groupe

À Abu Dhabi, s'il n'a rien pu faire face à Kimi Räikkönen et a terminé la course 15e à 27 secondes du Finlandais, Russell a néanmoins battu les autres pilotes du fond de tableau et n'était pas si loin des Ferrari sous le drapeau à damier. Le jeune Anglais pourtant dû composer avec des préoccupations d'ordre technique.

"Nous étions vraiment à la limite pour la température des freins", explique-t-il. "Nous avons donc vraiment dû gérer les freins, ce qui requiert de gérer la manière dont on attaque sur le frein ainsi que la répartition de freinage. En conséquence, cela use les pneus. Je ne pouvais donc pas attaquer sur les freins, puis la température des pneus chutait, mais la piste se refroidissait et j'avais donc besoin d'attaquer dans les virages pour maintenir une température élevée. De ce côté-là, j'étais sur le fil du rasoir tout au long de la course."

"Vu tous les petits pépins en arrière-plan, c'était une course vraiment bien gérée et exécutée. Mais avec la baisse de la température de la piste, il faut pouvoir pousser la voiture à la limite absolue, et nous n'étions pas vraiment en mesure de le faire. Je suis donc content que nous ayons fini là. Les Alfa étaient plus rapides que nous ce week-end mais nous avons battu les deux Haas et Giovinazzi, donc c'est du bon travail."

Propos recueillis par Erwin Jaeggi

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