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Wolff : Une consigne d'équipe chez Ferrari aurait été "brutale"

Alors que la position de Kimi Räikkönen chez Ferrari se fragilise, Toto Wolff défend la décision de la Scuderia de ne pas avoir demandé au Finlandais de laisser passer son coéquipier pour la deuxième place au Grand Prix d'Autriche.

Kimi Raikkonen, Ferrari et Sebastian Vettel, Ferrari dans le parc fermé

Photo de: Jerry Andre / Motorsport Images

Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Sebastian Vettel, Ferrari fête son résultat avec son trophée sur le podium
Kimi Raikkonen, Ferrari SF71H
Jonathan Wheatley, manager de Red Bull Racing et Kimi Raikkonen, Ferrari sur le podium
Kimi Raikkonen, Ferrari SF71H
Toto Wolff, directeur exécutif, Mercedes AMG
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H et Lewis Hamilton, Mercedes-AMG F1 W09
Kimi Raikkonen, Ferrari, Max Verstappen, Red Bull Racing et Sebastian Vettel, Ferrari sur le podium
Sebastian Vettel, Ferrari SF71H
Sebastian Vettel, Ferrari fête son résultat avec le champagne sur le podium
Kimi Raikkonen, Ferrari SF71H
Sebastian Vettel, Ferrari fête son résultat avec le champagne sur le podium

Grand Prix d'Autriche, 65e tour. Max Verstappen est en tête avec trois secondes et demie de marge sur Kimi Räikkönen et cinq sur Sebastian Vettel, qui compte alors 48 points de marge sur son coéquipier au championnat. Les pilotes Ferrari réduisent l'écart sur le leader de la course, sans succès, et Verstappen s'impose devant Räikkönen.

Fallait-il que la Scuderia demande à Räikkönen de céder la deuxième place à son chef de file pour contribuer à la quête du titre de ce dernier ? La problématique rappelle de vieux souvenirs de ce circuit alors nommé A1-Ring au début des années 2000, lorsque Rubens Barrichello avait été contraint de céder la deuxième place à Michael Schumacher en 2001 – dans une relative indifférence – puis la victoire après avoir fait toute la course en tête en 2002 – sous les huées du public.

Une quinzaine d'années plus tard, Ferrari n'a donc pas reproduit l'Histoire, et Toto Wolff, directeur de l'écurie rivale Mercedes, ne peut que montrer son approbation.

"Nous ne l'aurions pas fait, et je ne suis pas surpris qu'eux non plus", déclare Wolff. "Je pense que pour le bien de la F1, pour les fans, pour les pilotes, à ce stade de la saison, début juillet, demander aux pilotes d'échanger leur position est une décision assez brutale."

Vettel ne s'est jamais approché à moins d'une seconde de Räikkönen mais récupère néanmoins la tête du championnat de justesse, grâce à sa troisième place et à l'abandon de Lewis Hamilton. Et lorsque Sky Sports F1 lui demande s'il s'attendait à une consigne, l'Allemand répond : "Non, pourquoi ?"

"Kimi a fait tout ce qu'il pouvait [pour rattraper Verstappen]. Je les pourchassais tous les deux. Kimi attaquait aussi fort que possible et moi aussi. Nous réduisions tous deux l'écart, mais ça n'a pas suffi."

Que Räikkönen ait privé son coéquipier de trois petits points n'est toutefois pas suffisant pour mettre du baume au cœur de Toto Wolff, alors que Mercedes a encaissé un double abandon sur problème technique : "Il n'y a pas vraiment de soulagement à ressentir suite à cette course. Globalement, c'est douloureux."

Bottas n'est pas n°2

Et dans un contexte où Valtteri Bottas se retrouve à 53 longueurs de Lewis Hamilton au classement général suite à plusieurs coups du sort, Wolff refuse de reléguer le Finlandais au rôle de second couteau, lui qui a encore prouvé sa compétitivité en signant la pole position en Autriche.

"Nous en sommes à la neuvième course, il reste beaucoup de chemin à parcourir et je pense que nous devons aux fans – par ailleurs, c'est notre état d'esprit en sport auto – de ne pas jouer le championnat des pilotes en juin ou en juillet. Bien sûr, en fin de saison, si l'on aborde le dernier tiers du championnat et que l'on voit un solide avantage pour l'un des pilotes, c'est malheureux mais n'importe quelle équipe doit étudier cette situation. Mais pas maintenant", conclut Wolff.

Propos recueillis par Scott Mitchell et Adam Cooper

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