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Wolff : Wehrlein s'est fracturé une vertèbre cervicale

L'accident de Pascal Wehrlein à la ROC, en janvier dernier, a provoqué une blessure au dos qui a contraint le pilote Sauber à faire l'impasse sur la première semaine d'essais hivernaux ainsi que sur les deux premières courses de la saison.

Pascal Wehrlein, Sauber C36, dans les stands

Photo de: LAT Images

Accrochage de Pascal Wehrlein avec Felipe Massa au volant de la Polaris Slingshot SLR
Accrochage de Pascal Wehrlein avec Felipe Massa au volant de la Polaris Slingshot SLR
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Toto Wolff, directeur exécutif, Mercedes AMG
Pascal Wehrlein, Sauber C36
Pascal Wehrlein, Sauber F1 Team
Pascal Wehrlein, Sauber C36-Ferrari
Pascal Wehrlein, Sauber
Pascal Wehrlein, Sauber C36-Ferrari

C'était du moins la version officielle des événements, car Toto Wolff, directeur de l'écurie Mercedes dont Wehrlein est le protégé, vient de révéler la vérité à l'antenne de la chaîne de télévision RTL : une fracture d'une vertèbre cervicale, qui explique l'ampleur du manque de préparation physique du pilote allemand.

"Il est temps de dire ce qui se passe réellement et de prendre la défense de Pascal", déclare Toto Wolff. "Dans cet accident, une vertèbre de son cou a été compressée et s'est brisée. Il a eu de la chance de ne pas subir de blessures plus graves. Pendant des semaines, il n'était pas capable de se déplacer, parce qu'il devait porter un appareil orthopédique. Pendant cette période, il n'a pas pu s'entraîner beaucoup. Au final, il n'a pas eu la force [de piloter la voiture]."

Par conséquent, il est désormais beaucoup moins étonnant que Pascal Wehrlein ne se sente pas capable d'effectuer un Grand Prix de 300 kilomètres au volant d'une F1 parmi les plus rapides de l'Histoire, particulièrement physique à piloter. Notamment... pour le cou.

"C'était une sage décision, dont il avait discuté auparavant avec Monisha et moi", poursuit Wolff. "Nous avons accepté et respecté cette décision. En début de semaine, nous avons eu la même discussion. Nous aurions pu forcer Pascal à être là. Il aurait couru, il aurait souffert du jetlag et il serait passé à Bahreïn."

"Cependant, cela n'aurait pas été une préparation idéale. Nous avons donc décidé de lui donner dix jours de véritable entraînement à la place, pour qu'il retrouve la forme dont il a véritablement besoin pour piloter cette voiture. Puis il reviendra en pleine force à Bahreïn."

Pas de rivalité avec Ferrari

Ironie du sort, depuis deux Grands Prix, c'est le pilote de réserve Ferrari, Antonio Giovinazzi, qui prend la place du protégé de Mercedes. L'Italien s'est particulièrement illustré pour ses débuts au pied levé à Melbourne. Il n'y a toutefois pas de rivalité à avoir entre les deux top teams sur ce point, estime Toto Wolff.

"Il y a beaucoup de polémiques en Formule 1, que ce soit sur la piste ou en dehors. Mais nous nous entendons très bien avec Ferrari. Nous ne nous querellerions jamais pour nos jeunes pilotes. Monisha soutient Pascal à 100%. Il veut faire l'impasse sur une nouvelle course. Et je pense que c'est bien que Giovinazzi ait une nouvelle opportunité. Ce garçon sait piloter une voiture. Pascal reviendra et montrera qu'il est capable de faire encore mieux", conclut l'Autrichien.

Avec Stefan Ehlen

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