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Wurz pensait remplacer Häkkinen chez McLaren en 2002

Alexander Wurz, ancien pilote McLaren, est revenu sur le site officiel de l’écurie sur ses années à Woking et le choix de l’écurie de ne pas lui confier un baquet de titulaire en 2002, au profit de Kimi Räikkönen.

Alexander Wurz

Alexander Wurz

Mark Gledhill

Alexander Wurz teste la McLaren Mercedes MP4-18
Alex Wurz, président du GPDA et conseiller des pilotes Williams
Alexander Wurz teste la McLaren Mercedes MP4-18
Alexander Wurz teste la McLaren Mercedes MP4-18
Alexander Wurz teste la McLaren Mercedes MP4-18
Alex Wurz, mentor des pilotes Williams/Président du GPDA

Dans un long article retraçant sa carrière chez McLaren, l’Autrichien a rappelé ses débuts au sein de l’écurie de Ron Dennis, quand il sortait tout droit de l'écurie Benetton.

"Quand j’ai quitté Benetton à la fin de l’an 2000, après trois saisons à courir pour eux, j’ai eu de nombreuses offres de quelques équipes, mais elles étaient toutes liées à Flavio Briatore", explique ainsi Wurz. "Et à ce moment-là, je voulais trouver une équipe sur laquelle Flavio n’avait aucune influence, et McLaren correspondait à ça."

"Quand ils ont vu que je n’avais signé nulle part, ils m’ont appelé, vers novembre, et ils m’ont offert le rôle de pilote d’essais, en remplacement d’Olivier Panis, qui allait courir pour BAR, donc nous nous sommes mis d’accord sur les détails."

Une première année "étrange"

Au début des années 2000, les écuries pouvaient effectuer autant d’essais privés que possible : "A ce moment-là, la mentalité était d’éloigner le développement des pilotes titulaires, et d'utiliser plus les pilotes d’essais. N’oubliez pas qu’à l’époque les équipes étaient toujours en tests, et en tant que pilote de course vous étiez atrocement frustré d’avoir à faire tant de tests et en conséquence de ne pas être à la maison pour récupérer et vous entraîner."

"Au lieu de ça, il fallait de nouveau empiler les tours à Barcelone ou Jerez ou Valencia, etc. Mais, avec Olivier, McLaren a été pionnier dans l’utilisation de pilotes de pointe avec beaucoup d’expérience en F1, et quelque chose à prouver, et j’étais dans ce moule aussi. C’était une idée assez intelligente."

"Malgré cela, ma première année chez McLaren était un peu étrange, simplement parce que je ne courais pas et évidemment, la course était ce que je voulais faire. Cependant, à chaque test ça allait mieux. Bientôt, en fait, McLaren est devenu ma maison et les ingénieurs ont réalisé qu’ils pouvaient se fier à mes retours. Donc j’étais de plus en plus impliqué dans le processus complet de développement, ce qui était très gratifiant."

"Félicitations"

Il se souvient aussi d’un épisode difficile : le choix du second pilote titulaire pour la saison 2002. "Vers la fin de la saison 2001, il était devenu clair que Mika Häkkinen allait prendre sa retraite, et j’avais bon espoir, à ce moment là, de pouvoir le remplacer."

"En fait, aux tests de Monza, j’ai dû sortir de la voiture. J’étais sur un long relais et ils l’ont arrêté pour que je reçoive un coup de fil de Martin Whitmarsh. Il a dit : ‘Félicitations, je pensais que je devais interrompe le test, parce que tu vas courir pour nous l’année prochaine’. Il était si excité de me le dire, parce que c’était juste après la réunion où ils ont décidé de cela."

"Nous ne savions pas à l’époque que Ron négociait avec Sauber pour débaucher Kimi. Si Sauber avait dit ‘non’, et si Ron n’avait pas pensé que Kimi serait une meilleure option que moi – ce qu’il était probablement, pour être juste – alors j’aurais piloté pour McLaren en 2002."

"En tout cas, je n’ai pas eu d’appel de suivi après Monza, c’est là que j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose qui se passait. Donc j’ai pris un avion et suis allé voir Ron, et il a dit : 'En fait, nous prenons Kimi’."

"Il était trop tard et trop difficile à ce moment-là d’avoir un autre contrat. J’étais assez mature pour réaliser ensuite qu’ils ne voulaient pas me faire du mal, ils ont fait ça parce qu’ils pensaient que c’était la meilleure option pour l’équipe."

Il s’est malgré tout rapidement re-concentré sur sa tâche : "Les choix que j’ai eu étaient d’agir comme un enfant gâté et partir, ou être un homme et juste continuer à essayer de les convaincre en faisant du bon travail pour eux. Donc je suis resté chez McLaren et j’étais toujours très concentré."

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