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Preview F3 - 35 pilotes au rendez-vous ! (1/3)

Mitsunori Takaboshi, B-Max Racing Team Dallara F312 Toyota-Tom's

Photo de: Andy Chan

Callum Ilott rejoint le programme Red Bull junior
Callum Ilott rejoint le programme Red Bull junior
Will Buller, Signature Dallara F314 Volkswagen-Spiess
Départ de la course
Sean Gelael, Jagonya Ayam with Carlin Dallara F312 Volkswagen-Spiess

C’est en 2012 que la Fédération Internationale de l’Automobile a décidé d’acter le retour du Championnat Européen de Formule 3, dans lequel la Formule 3 Euro Series était vouée à se fondre.

Depuis lors, le plateau n’a cessé de s’étoffer et de gagner en qualité. Des pilotes de qualité ont été sacrés : Daniel Juncadella, Raffaele Marciello, et Esteban Ocon l’an dernier. Plusieurs pilotes de Formule 1 actuels sont passés par la discipline, tous dans la filière Red Bull : Daniil Kvyat, Carlos Sainz Jr, et bien sûr Max Verstappen, qui y a effectué son unique saison en sport automobile avant d’accéder à la catégorie reine.

C’est un plateau impressionnant de 35 pilotes répartis de façon inégale dans douze équipes (entre un et cinq pilotes par équipe) qui va se disputer le titre cette année, à partir du deuxième weekend d’avril à Silverstone. Cet essor s’explique notamment… par le nouveau système d’éligibilité à la Super Licence mis en place par la FIA il y a quelques mois. Ce système exige, pour accéder au graal indispensable pour courir en Formule 1, un total de quarante points sur les trois dernières saisons du pilote en sport automobile, selon un barème préalablement établi.

Ce barème fait de la F3 européenne la deuxième discipline dans la hiérarchie des formules de promotion avec 40 points pour le champion, derrière le GP2 Series (50 points) mais étrangement devant la Formule Renault 3.5 (30 points). Or, cette année, les plateaux de GP2 et de F3 européenne se sont renforcés tandis que celui de FR3.5 s’est (relativement) appauvri : nul doute que les nouveaux critères d’éligibilité ont joué un rôle là-dedans.

Trente-cinq pilotes pour trente-trois courses

Le format du championnat reste similaire : onze meetings de trois courses chacun, généralement en parallèle du championnat DTM. Quelques changements sont toutefois à noter : la manche du Hungaroring est remplacée par celle de Monza, qui se déroulera le même weekend que pour le championnat GT italien. La manche d’Imola n’aura pas lieu cette année, alors que l’on retrouvera Zandvoort au mois de juillet.

Du côté des écuries, on remarque que Mücke Motorsport sera plus présent, accueillant cinq pilotes en son sein au lieu de trois précédemment, toujours avec des moteurs Mercedes. Surtout, Motopark fait son arrivée dans la discipline ; la formation allemande, qui a remporté le titre par équipes en GP2 en 2013, va engager cinq voitures et va faire confiance à Volkswagen. Côté français, c’est l’équipe Signature fait son arrivée avec deux monoplaces ; elle avait disputé une manche l’an dernier, à Imola, avec William Buller. Au contraire, Team West-Tec passe de trois à une entrée, tout comme Threebond with T-Sport.

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