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Alonso - En 2008, j'avais quelques options : Red Bull, Toyota, Renault...

Dans le dernier numéro de l'édition britannique du magazine F1 Racing, Fernando Alonso est passé au grill pour une interview particulière

Dans le dernier numéro de l'édition britannique du magazine F1 Racing, Fernando Alonso est passé au grill pour une interview particulière.

En effet, cette fois, pas de questions de journalistes ou de fans adressées au Double Champion du Monde, mais toute une variété d'inquisitions de la part de différents membres du paddock. Voici une sélection de celles-ci, sur des thèmes aussi divers que variés, à commencer par ses contacts passés avec Red Bull ou les raisons de son désanchantement avec McLaren, en 2007.

Comment es-tu passé au-dessus de l'idée que tu pourrais être triple, quadruple ou quintuple Champion du Monde dans les jours ayant suivi les fois où tu es juste passé à côté?
(Daniil Kvyat, pilote Toro Rosso).

"C'est difficile… Clairement difficile, et il y a eu des…euh…semaines difficiles; des journées difficiles après les opportunités manquées. Mais j'ai reçu un super soutien familial et d'amis géniaux, qui m'ont soutenu à chaque fois. Il n'y a pas de doute quant au fait qu'à chaque fois, j'ai dû renforcer mon caractère et ma motivation. Ce n'est pas facile de prendre du recul après une grande déception comme cela. Je suis resté à la maison. Je n'étais pas déprimé, mais j'avais juste besoin de prendre du temps pour moi. Ne pas faire grand-chose, juste être avec mes proches autour de moi, tu vois?"

Regrettes-tu de ne pas nous avoir rejoints chez Red Bull en 2008?
(Christian Horner, Directeur d'Equipe Red Bull Racing)

"Ce fut une décision difficile, difficile! Il ne fait aucun doute qu'à l'époque, en quittant McLaren, j'avais quelques options : Red Bull, Toyota, Renault… Et il m'a fallu du temps pour prendre ma décision. Mais à l'époque, Red Bull était juste une équipe marrante, pas ce qu'elle est aujourd'hui. C'était une équipe drôle, avec un bon marketing, mais rien de plus que ça. Donc pour l'époque, ma décision a été logique".

Tu es le pilote le plus cool que j'ai vu avant une course. Es-tu vraiment si détendu, ou es-tu juste un excellent acteur?
(Pedro de la Rosa, pilote de développement Ferrari).

"Je pense que je suis détendu, et je ne sais clairement pas un bon acteur! Mais détendu, oui. Je vois parfois du stress et de la tension dans le team et chez les autres autour de moi, lorsqu'un Grand Prix est sur le point de commencer.

Habituellement, je suis celui qui essaie de maintenir mon calme, de donner confiance aux gars : "On va faire le maximum". Et en leur disant qu'ils n'ont pas besoin de se soucier de quoi que ce soit d'autre. Qu'on sera là, qu'on prendra un bon départ, puis qu'on aura une bonne stratégie et un bon rythme, et que le résultat dépendra de nombreux autres facteurs. Mais pas parce que nous aurons manqué quelque chose. Je suis détendu pour cette raison. Je pense aussi que tout est sous contrôle en course et que nous nous donnons toujours à 100%, donc c'est suffisant pour être serein et prêt pour le départ".

Quel est ton virage favori, et pourquoi?
(Martin Brundle, ex-pilote et consultant TV)

Le Virage 1 en Chine. Pourquoi? Parce que c'est un virage très unique. Sur tous les autres circuits, chaque virage a une courbe similaire sur une autre piste. A part le Virage 1 de Shanghai. Il est unique. Il n'en finit jamais et c'est un endroit où l'on peut gagner ou perdre beaucoup de temps au tour, car on y passe six ou sept secondes! Et j'aime ça, c'est un défi".

Que ferais-tu si tu n'étais pas pilote F1?
(Paul Hembery, Directeur de la compétition Pirelli)

"Je n'en ai aucune idée, pour être sincère. Ma première course en karting fut à l'âge de trois ans et j'ai passé toute ma vie derrière un volant. Donc j'aurais probablement été impliqué dans un autre sport, car j'adore le sport. Et en Espagne, le football est vraiment important. Enfant, quand je ne roulais pas, j'étais probablement en train de jouer au foot, chaque weekend. Du cyclisme, peut-être… Mais je ne sais pas vraiment"…

Qu'est-ce qui a fait que tu étais si mal à l'aise chez McLaren en 2007? Etait-ce la vitesse de Lewis? Ou parce que le team n'était pas à 100% derrière toi?
(Jean Alesi, ex-pilote F1 et ambassadeur Pirelli)

"Je pense que même si Lewis était rapide – à l'époque, certains disaient qu'il était le plus rapide, et même plus rapide que moi -, je ne suis probablement pas d'accord sur ce point. La saison fut assez serrée. Pendant une partie du milieu de l'année, Lewis était plus rapide que moi et je pense qu'à un moment, il était environ 30 points devant moi [il en avait en réalité 14 à Magny-Cours]. Mais à la fin de l'année, même avec Fuji où je n'ai pas fini la course, je pense que globalement j'avais l'avantage en termes de rythme sur l'ensemble de l'année.

Ce qui n'a pas marché en 2007 est qu'avec le team, nous n'avions pas mes mêmes objectifs, la même approche. C'était le cas en début d'année, mais après 4 ou 5 courses, ils ont changé un petit peu leur opinion. Je donne 110% à toute équipe pour laquelle je cours. Si je ne donne pas 110% ou que nous ne partageons pas la même philosophie de la course et de la course pour la victoire, cela devient difficile de continuer à travailler ensemble".

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