De bons souvenirs pour Ferrari en Malaisie
Le Grand Prix de Malaisie 2014 représentera déjà la 16ème épreuve F1 sur le tracé de Sepang, dans la banlieue de Kuala Lumpur
Le Grand Prix de Malaisie 2014 représentera déjà la 16ème épreuve F1 sur le tracé de Sepang, dans la banlieue de Kuala Lumpur. Arrivée comme l’une des premières épreuves du nouveau calendrier F1 sur les territoires émergeants, la Malaisie s’est rapidement forgé une position de « classique » grâce à une météo capricieuse et un défi technique et humain difficile.
Avec 6 victoires, soit 40% des GP disputés à Sepang, Ferrari dispose d’un palmarès intéressant en Malaisie. La première victoire, en 1999, est bien entendu une manche que personne n’a oublié, marquant le retour de Michael Schumacher suite à son accident de Silverstone. Poleman, l’Allemand avait alors dominé de la tête et des épaules la manche avant de céder la victoire à son coéquipier Eddie Irvine, alors en lutte pour la couronne des pilotes face à Mika Häkkinen (McLaren Mercedes). Un doublé qui donna espoir à Ferrari, même si le Finlandais s’imposa au final sur la dernière manche de la saison.
C’est Schumacher qui s’imposa l’année suivante, menant un nouveau doublé Ferrari devant son nouveau coéquipier, Rubens Barrichello. La course avait été animée par la pluie, imposant aux pilotes Ferrari de remonter dans le peloton après des difficultés en début de course et l'adoption d'une stratégie décalée.
Le Kaiser s’imposa une nouvelle fois à Sepang en 2004, année de son septième et dernier titre mondial. Il faudra ensuite attendre trois ans pour revoir une Ferrari franchir la ligne d’arrivée à la première place en Malaisie, avec Kimi Räikkönen au volant. Cette manche 2008 restera également dans les mémoires des fans de Felipe Massa, le Brésilien perdant ce jour-là des points qui auraient pu faire la différence au championnat face à Hamilton, sur une sortie de piste au 31ème passage.
La dernière victoire Ferrari en Malaisie remonte à la saison 2012, avec le succès de Fernando Alonso, sur piste détrempée. L’Espagnol avait alors résisté à la pression du jeune Sergio Pérez (Sauber), dont le manque d’expérience avait finalement eu raison de ses espoirs de victoire.
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