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Le départ, un "pari" avec la F2 2018

Nombreux sont ceux qui ont calé au départ des deux premières courses de Formule 2 de la saison à Bahreïn, et les pilotes ne cachent pas avoir rencontré des difficultés dans ce domaine.

Lando Norris, Carlin, devance Sergio Sette Camara, Carlin au départ

Lando Norris, Carlin, devance Sergio Sette Camara, Carlin au départ

FIA Formula 2

Alexander Albon, DAMS
Alexander Albon, DAMS
Alexander Albon, DAMS
Alexander Albon, DAMS
George Russell, ART Grand Prix
George Russell, ART Grand Prix
George Russell, ART Grand Prix
George Russell
Lando Norris, Carlin
Le vainqueur Lando Norris, Carlin

Trouver le point de patinage s'avère compliqué au volant de la F2 2018 à moteur turbo. Antonio Fuoco, Roberto Merhi, George Russell et Jack Aitken, entre autres, se sont fait piéger, sans oublier les nombreux concurrents qui ont subi un fort patinage lors de leur envol.

"Certaines autres équipes l'ont pigé et savent manier l'embrayage", explique Alexander Albon, qui a perdu quatre places au départ le samedi puis huit le dimanche. "Puis il y a d'autres équipes qui sont en grande difficulté, comme ART, Prema et nous."

"C'est presque un pari au départ, soit on cale, soit on patine. Si je perds six ou sept places à chaque départ, l'année va être longue", ajoute celui qui n'avait signé avec DAMS que pour le premier meeting.

En effet, ART Grand Prix était également en difficulté : George Russell et Jack Aitken ont tous deux calé sur la grille le dimanche, et le pilote de réserve Mercedes, qui était en première ligne de la Course Principale, avait alors perdu trois places au premier tour.

"J'ai commis une erreur", révèle Russell quant à sa deuxième mésaventure. "Cinq ou six gars ont calé lors de la deuxième course, au moins deux la veille ; les voitures sont très délicates à démarrer, même en sortant des stands. L'embrayage est extrêmement sensible. Le pilote doit être très précis sur les réglages de l'embrayage, et en l'occurrence, je me suis trompé."

En revanche, chez Carlin, tout allait pour le mieux. Les départs étaient la faiblesse de Lando Norris en F3 Europe, mais en Course Principale, l'auteur de la pole position a pris un envol phénoménal et avait déjà une large avance sur ses rivaux en arrivant au premier virage.

"Nous avons travaillé plus dur que la majorité sur nos départs", affirme Norris. "Nous sommes parvenus à être un peu plus précis sur la façon d'atteindre le point de patinage pour prendre un bon départ. Certains semblent simplement trouver ça un peu plus difficile que nous."

Propos recueillis par Oleg Karpov et Scott Mitchell 

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