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Dossier - GP2, le format des weekends

Outre le fait d’incarner l’une des antichambres de la Formule 1, le GP2 implique une réglementation spécifique, qui peut amener certains membres d’équipes (voire journalistes !) à se casser la tête

Outre le fait d’incarner l’une des antichambres de la Formule 1, le GP2 implique une réglementation spécifique, qui peut amener certains membres d’équipes (voire journalistes !) à se casser la tête. Mais rien de bien méchant, vous verrez !

Un meeting de GP2 Series comporte deux courses, pour une seule séance de qualifications. A l’issue de la première course, l’ordre d’arrivée est conservé pour la course suivante, à un tout petit détail près, et non des moindres : les huit premiers sont touchés par la grille inversée pour la seconde manche. Il n’est ainsi pas rare de voir des pilotes tenter de se placer huitième pour en profiter en course sprint.

La course sprint correspond à la seconde course du week-end. Plus courte que la première (dite course longue ou feature race), elle rapporte également moins de points. D’ailleurs, le barème a évolué depuis 2012 : le vainqueur de la première course peut espérer marquer 27 points, s’il signe le meilleur tour en course qui lui apporte 2 points supplémentaires. Et n’oublions pas bien sûr 4 points supplémentaires pour l’auteur de la pole position !

A noter par ailleurs que les points du meilleur tour ne peuvent être alloués qu’à un pilote du top 10. D’autres exceptions amènent certains pilotes à ne pas être éligibles pour ce précieux sésame, comme prendre le départ de la course à une position qui n’est pas celle prévue sur la grille. Dans la course longue (170 kilomètres ou 60 minutes), le changement de pneumatiques minimum est obligatoire. Jusqu'à 2012, la course sprint (120 kilomètres ou 45 minutes) n’autorisait pas d’arrêt pour changer des pneumatiques, hormis situation exceptionnelle ou conditions météorologiques particulières. Depuis peu, les stratégies sont libres, afin de continuer à s’approcher de la Formule 1.

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