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Evans handicapé par un problème technique indécelable

Mitch Evans, RUSSIAN TIME

Mitch Evans, RUSSIAN TIME

GP2 Series Media Service

Mitch Evans, Russian Time
Mitch Evans, Russian Time
Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Zoel Amberg, Lazarus et Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Mitch Evans, RUSSIAN TIME et Artem Markelov, RUSSIAN TIME
Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Mitch Evans, Russian Time
Mitch Evans, Russian Time
Mitch Evans, RUSSIAN TIME dépasse Marco Sorensen, Carlin
Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Mitch Evans, Russian Time
Mitch Evans, RUSSIAN TIME

Quatrième du championnat GP2 l'an passé, Mitch Evans faisait logiquement partie des candidats au titre pour la saison 2015. Evans avait réalisé une campagne réussie, ponctuée par deux victoires, malgré le changement de structure chez Russian Time.

"J’étais très content de la saison dernière," déclare le Néo-Zélandais dans une interview accordée à Motorsport.com. "Ce n’était pas l’année la plus simple, pour un certain nombre de raisons, mais finir quatrième en GP2 restait un très bon résultat, compte tenu de certaines courses étranges que nous avons connues."

Accrochages et problèmes techniques à répétition

Cette saison toutefois, rien ne se passe comme prévu : Evans ne compte qu'un seul podium en six courses, signé à Barcelone. Troisième sur la grille à Bahreïn, le pilote Russian Time a subi une crevaison suite à un contact avec Julián Leal.

À Monaco, c'est Nick Yelloly qui s'est rabattu sur lui à la chicane, provoquant son abandon lors de la course longue, alors que lors des courses sprint de Barcelone et de Monaco, des pannes mécaniques l'ont empêché de prendre le départ.

"Toute l’équipe a changé cette année, donc j’ai un nouvel ingénieur, un nouveau management, les mêmes mécaniciens," détaille Evans. "La voiture que je pilote est complètement différente de celle de l’an dernier. C’est difficile de savoir exactement."

"C’est difficile de savoir exactement où nous nous situons parce que j’ai eu beaucoup de problèmes mécaniques sur la voiture, donc je n’ai fait qu’environ 50% des courses. Mais je reste quatrième, j’imagine que c’est un point positif. Nous avons toutefois perdu beaucoup de points, ce qui est frustrant."

Un problème mécanique inédit

Evans évoque en fait un problème technique présent sur sa Russian Time, toutefois indécelable. Sur les trois premières séances qualificatives de l'année, le Champion GP3 2012 n'a pu se classer dans le top 10 qu'une fois, et les pannes mécaniques qui l'ont empêché de prendre le départ de deux courses sont, en effet, inhabituelles.

Le fait que l'équipe ne soit plus opérée par iSport International mais par Virtuosi ne peut pas en être la cause, selon Evans. "Puisque ce sont les mêmes mécaniciens… si c’étaient de nouveaux mécaniciens, peut-être qu’on commencerait à les pointer du doigt, mais ce sont les mêmes mécaniciens que l’an dernier. Je leur fais entièrement confiance."

"Nous avons changé beaucoup de choses sur la voiture. Quand on regarde les données, on dirait que quelque chose ne va pas sur la voiture, mais nous n’arrivons pas à trouver ce qui le cause."

On dirait que quelque chose ne va pas sur la voiture, mais nous n'arrivons pas à trouver quoi

Mitch Evans

"C’est vraiment frustrant pour les mécaniciens, pour toute l’équipe et évidemment pour moi," poursuit-il. "Cela ne nous coûte pas seulement beaucoup de points, c’est évidemment beaucoup d’argent aussi pour réparer cela. Il y a aussi un point d’interrogation quant à l’utilité de ce que nous faisons, car nous n’avons d’instructions que du GP2 pour changer les pièces, parce qu’ils ont plus de données que nous."

Dans l'espoir de résoudre ce problème, Russian Time a apporté des modifications à sa monoplace pour le meeting du Red Bull Ring, mais ce souci technique est inédit, ce qui signifie que l'équipe russe cherche à tâtons.

"Nous avons fait beaucoup de changements pour l’Autriche, donc espérons avoir résolu le problème," ajoute Evans. "Ce n’est pas le début de saison que je voulais, mais c’était plus ou moins hors de mon pouvoir, et même du pouvoir de l’équipe, mais c’est comme ça."

"Le problème que j’ai ne s’est jamais présenté auparavant. C’est encore plus frustrant. Espérons que c’est fini, mais si ça ne l’est pas, il y a un gros point d’interrogation sur ce que c’est. Ce n’est bon ni pour le championnat, ni pour nous. Espérons qu’à partir de maintenant, nous allons construire sur un bon élan et viser le top 3 ou le top 2 au championnat," conclut le Néo-Zélandais avec un optimisme certain.

Comme il l'a dit plus haut, Evans est quatrième du championnat, mais à 86 points de la tête du championnat et avec neuf points d'avance sur la onzième place. Résoudre le problème inconnu sur sa GP2/11 sera donc crucial pour que le pilote Russian Time conserve des chances de bons résultats au chamipionnat.

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