GP2 - Adrian Quaife-Hobbs, un an après un premier succès
Adrian Quaife-Hobbs fait partie des pilotes de GP2 qui ont goûté à la victoire dans la catégorie
Adrian Quaife-Hobbs fait partie des pilotes de GP2 qui ont goûté à la victoire dans la catégorie. C'était il y a un peu moins d'un an, sur le circuit de Monza, que les pilotes de GP2 vont arpenter le premier week-end de septembre cette saison. Avant cela, ToileF1 a fait le point, un an après, avec le pilote britannique.
Pour sa première année en GP2,
Adrian Quaife-Hobbsavait fréquenté deux équipes et voulait terminer sa saison en beauté. Le champion d'Auto GP sortant a réussi à réaliser quelques performances isolées et connaît une saison difficile cette année. L'est-elle davantage que l'an passé ?
« En théorie, cela devrait être plus simple ! Ce qui est vrai, c'est que l'expérience acquise sert. On s'habitue au format des week-ends de course. Ce n'est pas plus simple à l'heure actuelle car notre rythme en qualifications n'est pas bon. Nous savons quels sont les problèmes, mais nous ne parvenons pas à le résoudre. De plus, notre rythme de course est bon ! Même si les essais se révèlent positifs, le juge de paix est constamment la séance de qualifications », relate-t-il.
Le discours rappelle celui de Stefano Coletti, tout aussi perdu avec les
réglages de sa Rapax l'an passé. Malgré tout, en Hongrie, le Britannique a eu un bol d'air frais, matérialisé par un podium inespéré en début de course. A côté de cela, le pilote Rapax s'implique chez Pro-Sim et Pro Perforamnce, deux organisations qui s'occupent de la préparation des pilotes côté simulateur et côté coaching. Quel est son rôle dans ces deux entités ?
« Nous nous occupons de nombreux pilotes qui viennent de plusieurs championnats monoplaces. Je guide et coache ces pilotes qui viennent du karting, de Formule Renault, des World Series by Renault... »
« Ma connaissance des monoplaces et des circuits me permet de les aider efficacement. Je m'occupe notamment d'un pilote en Formule Renault 1.6 NEC, Pontus Fredericsson. Concernant les pilotes de GP2, ils n'entrent pas dans cette préparation au simulateur, puisque c'est Dallara qui se charge de cette partie », résume-t-il.
Dallara fait par ailleurs appel à l'expertise de pilotes pour développer son simulateur. A ce titre,
le Français Tom Dillmannnous avait fait part de son travail au sein du manufacturier italien. Preuve que les metteurs au point sont des atouts de choix !
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