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GP2 - Stéphane Richelmi, l'enfant monégasque

Le sport automobile est inscrit dans l'ADN de Monaco, et ce n'est pas Stéphane Richelmi qui dira le contraire

Le sport automobile est inscrit dans l'ADN de Monaco, et ce n'est pas Stéphane Richelmi qui dira le contraire. Richelmi a grandi dans une famille qui aime l'automobile, son père Jean-Pierre étant connu pour avoir notamment remporté une épreuve du championnat d'Europe des rallyes en 1999. Dans un tel contexte, pas étonnant que le jeune Stéphane se soit tourné vers la course, lui aussi.

Courir dans les rues de sa ville est forcément un moment spécial pour Richelmi, mais s'agit-il pour lui de plaisir, de motivation ou de pression supplémentaire ?

"C'est un peu tout ça à la fois !" répond-il en exclusivité pour ToileF1. "Plus de plaisir, parce que la piste est extraordinaire. C'est vrai que c'est très étroit pour ces voitures, mais quand on arrive à la dominer, c'est vraiment exceptionnel comme sensation de passer si près des rails avec des virages rapides, des dénivelés ; c'est vraiment une super piste. C'est vraiment le plaisir qui prédomine. Aussi, le fait d'être à la maison, c'est sûr que c'est sympa. C'est l'endroit où je suis né, je connais tout par cœur. Avoir ses amis pas loin, c'est un vrai plus".

"Après, c'est aussi plus de pression parce que c'est Monaco, c'est mythique, tout le monde veut gagner ici et c'est la course la plus regardée au monde. Donc ça met plus de pression quand tu es monégasque, bien sûr, parce que tous les gens d'ici te connaissent. Mais j'essaie de transformer cette pression en bonne pression. Cette année, on avait tout pour bien faire, le podium était à ma portée..." poursuit le Monégasque, amer d'avoir perdu, hier, la chance d'un podium à domicile lors d'un arrêt au stand raté.

On sait que Nico Rosberg, qui n'est pas monégasque mais a grandi dans la Principauté, empruntait le tunnel tous les matins lorsqu'il allait à l'école. Existe-t-il une rue empruntée par le circuit qui a une signification particulière pour Richelmi ?

"En particulier, il n'y en a pas", admet le pilote DAMS. "C'est l'endroit que je connais depuis que je suis tout petit. À chaque virage, j'ai des sensations différentes. Quand je passe à la Rascasse, je pense à quand je vais boire un coup ; quand je passe la ligne droite des stands, je vois l'Automobile Club de Monaco, l'endroit qui m'a permis de commencer à rouler. Après, le Casino, c'est mythique pour tout le monde, mais pour moi, ça reste le lieu touristique où je ne vais jamais".

"Après, je me rappelle que quand il y avait des démos de jeux vidéos à la Fnac, c'était drôle de jouer à Monaco et de ne pas avoir le circuit juste à côté. À chaque virage, il y a des sensations différentes", conclut-il.

En fin d'après-midi, ne ratez pas la course sprint du weekend : Stéphane Richelmi sera en pole position avec l'opportunité de faire retentir l'hymne monégasque en Principauté pour la deuxième année consécutive, après Stefano Coletti en 2013 !

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