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Le GP2 n'exclut pas de fusionner avec la F2

Départ : Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix mène

Départ : Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix mène

GP2 Series Media Service

Dean Stoneman, Champion 2010 de Formule 2, franchit la ligne d'arrivée
Départ : Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix mène
Départ : Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix mène
Nobuharu Matsushita, ART Grand Prix, André Negrao, Arden International et Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix
Julian Leal, Carlin et Mitch Evans, RUSSIAN TIME et Rio Haryanto, Campos Racing au départ
Rio Haryanto, Campos Racing
Julian Leal, Carlin devance Mitch Evans, RUSSIAN TIME

C'est au mois de janvier que la FIA a dévoilé son intention de recréer le championnat de Formule 2 dans le but de créer une échelle complète de la F4 à la F1 en formules de promotion.

Tandis que Stefano Domenicali, responsable de la commission monoplace de la FIA, souhaite qu'un projet clair soit établi d'ici le mois de juin, les responsables du championnat GP2 se sont déclarés ouverts à une fusion.

"Selon les détails de l'offre, nous pourrions y jeter un œil et nous y intéresser", déclare Bruno Michel. "Cela aurait du sens, et nous devons voir exactement ce que serait le règlement de l'appel d'offres, mais c'est vraiment quelque chose que nous étudierions".

"Si nos objectifs s'accordent, il n'y a pas de raison de ne pas le faire, mais à l'heure actuelle, je ne sais pas".

Les coûts de la future discipline seront cruciaux

Le futur championnat se devra toutefois d'être bon marché. Le principal handicap actuel du GP2 est le coût qu'il représente pour les pilotes : la plupart d'entre eux doivent apporter un budget proche des deux millions d'euros pour financer une saison dans la discipline.

Or, les moteurs hybrides envisagés par la commission monoplace pourraient certes, rendre la compétition plus cohérente par rapport à la Formule 1, mais également engendrer des coûts non-négligeables.

"Tout est possible, tant que c'est viable financièrement", estime Michel. "On peut parler de moteurs hybrides, on peut parler de moteurs gratuits, on peut parler de plusieurs châssis. Mais en fin de compte, il y a un marché, et ce n'est pas un marché qui permet aux pilotes d'apporter des budgets de millions et de millions d'euros".

"Nous ne voulons pas imposer des réglementations qui coûteraient une fortune aux équipes, c'est un de nos objectifs très clairs".

Une F2 concurrente n'effraie pas le GP2

Si jamais la fusion entre le GP2 et la F2 ne se concrétisait pas, c'est un nouveau concurrent de taille qui ferait son arrivée sur l'échelle des formules de promotion, dans un contexte où plusieurs disciplines peuvent déjà se targuer d'être des antichambres de la Formule 1 : le GP2 et la Formule Renault 3.5, voire le GP3 et la F3 européenne.

Cependant, l'éventuelle rivalité entre le GP2 et la F2 ne fait pas peur à Bruno Michel pour autant.

"C'est arrivé par le passé et je ne pense pas que c'était vraiment un problème. Bien sûr, il n'y a pas la place pour 10 formules d'accès à la F1 et je pense que nous avons prouvé que nous faisons bien les choses".

"S'il y a une autre discipline, peut-être que cela rendra la vie plus difficile, mais l'important, c'est de voir qui survit", conclut-il.

Le GP2 prévoit d'utiliser la Dallara GP2/11 jusqu'en 2016. Le nouveau package, prévu en 2017, pourrait donc s'accorder avec le retour du championnat de F2.

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