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Marciello et Russian Time pour un premier titre depuis 2013

Voilà trois ans cette saison que Raffaele Marciello et Russian Time n'ont pas remporté de titre : le pilote italien et l'équipe russe vont donc unir leurs forces cette saison en GP2 Series pour être sacrés.

Raffaele Marciello, Trident

Raffaele Marciello, Trident

GP2 Series Media Service

Raffaele Marciello, Trident
Artem Markelov, RUSSIAN TIME
Le deuxième de la Course 1 Place Raffaele Marciello, Trident
Raffaele Marciello, Trident
Raffaele Marciello, Trident
Artem Markelov, RUSSIAN TIME
Course 1, le podium : le vainqueur Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix, le deuxième Raffaele Marciello, Trident et le troisième Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Raffaele Marciello, Trident, devant Artem Markelov, RUSSIAN TIME, Jordan King, Racing Engineering et André Negrao, Arden International
Artem Markelov, RUSSIAN TIME devant Raffaele Marciello, Trident
Course 1, le podium : le deuxième Raffaele Marciello, Trident, le vainqueur Stoffel Vandoorne, ART Grand Prix et le troisième Mitch Evans, RUSSIAN TIME
Raffaele Marciello, Trident, Artem Markelov, RUSSIAN TIME et Sergio Canamasas, Team Lazarus

C'est en effet en 2013 que Marciello a remporté son unique championnat monoplace, s'imposant en F3 Europe avec Prema Powerteam. Depuis, le transalpin court en GP2, avec une première campagne convaincante chez Racing Engineering, huitième du championnat, mais aussi une deuxième saison décevante avec Trident, où il a peiné à obtenir de meilleurs résultats, si bien qu'il a été prié de quitter le programme de jeunes pilotes Ferrari.

"Il est clair qu'après trois saisons en GP2, j'essaierai de me battre pour le titre," déclare Marciello sans détour pour Motorsport.com"Si nous avons une bonne voiture et que nous travaillons vraiment bien, c'est clair que nous pouvons y arriver, mais la saison est vraiment longue. Donc je ferai de mon mieux."

Mener Russian Time vers de nouveaux succès

L'écurie Russian Time avait fait ses débuts en GP2 en 2013 et avait remporté le titre par équipes en menant Sam Bird à la place de vice-champion, lorsqu'elle était opérée par Motopark. Lorsqu'iSport, puis Virtuosi ont pris le relais dans la gérance technique de l'équipe, Russian Time n'a plus été dans la lutte pour le championnat en dépit des belles performances de Mitch Evans, vainqueur de plusieurs courses en 2014 et en 2015. Malgré tout, Marciello s'avère confiant.

"Russian Time a fait du bon travail en fin de saison," souligne-t-il, Evans étant le deuxième pilote ayant marqué le plus de points après la trêve estivale 2015. "Avec Sam Bird, ils se sont vraiment bien débrouillés il y a deux ou trois ans. Donc il est clair qu'ils peuvent faire du bon travail, et je suis confiant."

"À mon avis, nous pouvons nous battre pour le titre," poursuit Marciello, qui s'attend toutefois à ce que Sergey Sirotkin représente une menace. "Bien sûr, la saison n'a pas encore commencé, il faut faire les essais et tout, mais je les vois vraiment professionnels, donc oui, nous pouvons être performants. Et je suis confiant."

Un nouveau coéquipier et un plateau relevé

L'Italien aura un nouveau coéquipier en la personne d'Artem Markelov, dont il souligne les progrès effectués en 2015 avec notamment un podium à Spa-Francorchamps : "Je ne le connais pas vraiment bien, mais l'an dernier, il s'est beaucoup amélioré, donc il peut certainement être performant et se battre pour le podium cette année."

Quant au niveau du plateau, Marciello s'attend à ce qu'il demeure élevé : "Je dirais qu'en général, le niveau sera assez similaire à l'an dernier. Il y aura deux ou trois gars rapides, mais le niveau sera certainement assez élevé et professionnel."

Le titre ne sera pas une garantie

Bien que l'ancien jeune pilote Ferrari rêve toujours de courir dans la catégorie reine du sport automobile, il sait que remporter le championnat GP2 ne sera en rien une garantie.

"Même en remportant le titre, on n'est pas sûr d'aller en Formule 1, comme on le voit avec Stoffel [Vandoorne]. Mais je m'en moque, je vais essayer de faire de mon mieux et on verra bien," conclut-il.

Propos recueillis par Oleg Karpov

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