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Rowland veut convaincre Renault pour 2018

Actuel dauphin du championnat de Formule 2, Oliver Rowland a bien l'intention de convaincre Renault F1 de lui offrir un baquet de titulaire en 2018.

Oliver Rowland, DAMS

FIA Formula 2

Oliver Rowland, DAMS
Oliver Rowland, DAMS
Oliver Rowland, DAMS
Oliver Rowland, DAMS
Oliver Rowland, DAMS
Le vainqueur Oliver Rowland, DAMS
Podium : le vainqueur Oliver Rowland, DAMS, le deuxième Artem Markelov, RUSSIAN TIME, le troisième Nobuharu Matsushita, ART Grand Prix
Oliver Rowland, DAMS
Oliver Rowland, DAMS
Podium : le troisième Oliver Rowland, DAMS
Nico Hulkenberg, Renault Sport F1 Team RS17
Oliver Rowland, DAMS

Champion de Formule Renault 3.5 en 2015, Oliver Rowland fait partie des pilotes les plus prometteurs de sa génération. Après quelques piges cette même année et une première campagne en GP2 conclue au neuvième rang chez MP Motorsport en 2016, Rowland a rejoint DAMS dans ce qui est désormais la Formule 2.

Le top team français a dominé le début de l'ère de la monoplace GP2/11 actuellement utilisée en F2, remportant trois titres avec Romain Grosjean, Davide Valsecchi et Jolyon Palmer entre 2011 et 2014. En revanche, depuis lors, c'est ART Grand Prix, puis la nouvelle équipe Prema Racing, qui a pris les commandes. En cause selon Rowland, de légères modifications apportées au package employé pour la septième saison consécutive.

"Les pneus ont beaucoup changé, les freins aussi, et la fenêtre de fonctionnement a l'air très petite – je ne pense pas que nous ayons déjà été dedans", souligne le Britannique pour Motorsport.com. "Prema a élevé son niveau de jeu à son arrivée."

"Je crois que la voiture [DAMS] est suffisamment bonne, car elle l'était par le passé, mais on a vu qu'avec Vandoorne, ART avait fait un pas en avant et avait dominé. Leur ingénieur [Guillaume Capietto, ndlr] est parti chez Prema. Vous savez, c'est leur directeur technique, il y a un dénominateur commun. Mais ils ont élevé le niveau dans tous les domaines."

Bien que les pilotes Prema aient signé le doublé au championnat en 2016, Pierre Gasly devant Antonio Giovinazzi, les nouveaux hommes du team italien connaissent des fortunes diverses. Charles Leclerc caracole en tête du championnat avec cinq podiums dont trois victoires, mais son coéquipier Antonio Fuoco se classe toujours entre la neuvième et la 13e places en course.

Est-ce un avantage de courir pour cette écurie dans cette formule monotype, Charles Leclerc ayant signé l'intégralité des pole positions cette saison ? "Quand on fait la pole avec une demi-seconde ou six dixièmes d'avance, tout devient beaucoup plus facile", estime Rowland. "Nous nous battons actuellement avec quelque chose qui va cinq ou six dixièmes plus vite. S'il a une demi-seconde d'avance, ça rend les choses bien plus aisées."

"Mais bravo à lui, il fait du très bon travail, l'équipe fait du bon travail. Cela dit, DAMS est une très bonne équipe, ils travaillent très dur en semaine, et je suis convaincu que nous finirons par y arriver."

Objectif F1 2018

À l'heure actuelle, Oliver Rowland n'a toujours pas effectué d'essais en Formule 1, à l'exception d'un bref test avec Red Bull Racing en 2015, récompense pour ses performances en Formule Renault 3.5.

Le pilote de développement du Losange abat un travail certain dans le simulateur ; il a bon espoir de convaincre l'écurie française de lui donner sa chance pour l'an prochain, dans un contexte où le baquet de Jolyon Palmer est menacé et où Sergey Sirotkin, qui enchaîne les essais en F1, semble avoir une longueur d'avance.

"Vous savez, dans la situation actuelle, Renault continue à construire", rappelle Rowland. "Même si je peux essayer de gagner au volant de quelque chose d'inférieur, cela leur montre que je peux faire le travail avec quelque chose d'un peu moins bon. Et je pense que pour eux, dans les trois années à venir environ, c'est ce dont ils ont besoin pour construire."

"Et si je peux travailler avec l'équipe et développer la voiture, m'assurer qu'elle est aussi bonne que la Prema à la fin de l'année, cela sera prometteur pour mes espoirs d'obtenir un baquet chez Renault, parce que c'est ce dont ils ont besoin ; il leur faut quelqu'un de constant, qui donne un bon feedback en général, qui obtient des résultats, un peu comme Nico [Hülkenberg] en ce moment, quand la voiture n'est pas forcément au niveau. Et c'est ce dont ils ont besoin lors des années à venir, je pense, pour prendre confiance, gagner du terrain chez les constructeurs, recevoir plus d'argent, tout ça. Mais ça reste important pour moi de remporter le titre F2."

Propos recueillis par Valentin Khorounzhiy

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