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La règle du DRS évolue en FIA F3

La FIA F3 (ex-GP3) va adopter la même règle que la F2 et la F1 concernant l'utilisation du DRS, pour la saison 2019.

Ryan Tveter, Trident, Devlin DeFrancesco, MP Motorsport, Sacha Fenestraz, Arden International

Ryan Tveter, Trident, Devlin DeFrancesco, MP Motorsport, Sacha Fenestraz, Arden International

GP3 Series Media Service

Le DRS a débarqué en GP3 Series en 2017, mais il ne pouvait être utilisé que six fois par pilote en Course 1 et quatre fois en Course 2. En FIA F3, comme dans les deux catégories supérieures, il suffira désormais d'être à moins d'une seconde de la voiture de devant pour activer l'aileron arrière mobile.

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"Le GP3 limitait la quantité d'utilisations en course, mais nous avons arrêté ça [en FIA F3] tant qu'ils sont à moins d'une seconde, comme en F2 et en F1", déclare le directeur de course Charlie Whiting pour Motorsport.com. "Je pense que ça n'a pas de sens de ne pas l'avoir en F3 si nous faisons rouler les voitures sur la même plateforme [que la F1 et la F2]. Il n'y a pas de raison justifiable de ne pas l'avoir, à mon avis."

"Ce n'était pas une décision difficile à prendre, nous voulions faire une voiture qui crée des courses fantastiques", renchérit Bruno Michel, PDG du championnat. "C'est notre ADN, c'est pour ça que les gens regardent et connaissent les pilotes. Ils nous suivent."

Julien Falchero, Arden International Devlin DeFrancesco, MP Motorsport et Juan Manuel Correa, Jenzer Motorsport

La nouvelle FIA F3 a été testée à Abu Dhabi, à Bahreïn et au Paul Ricard avec l'essayeur Ben Hanley, éphémère pilote GP2 qui évolue désormais en Endurance. "L'idée est d'avoir un niveau de fiabilité acceptable pour tout le monde quand nous livrerons les voitures aux équipes", indique Michel à Motorsport.com. "Cela ne va pas être parfait, nous le savons, et plus nous aurons de kilométrage, mieux ce sera. Nous livrerons la voiture fin janvier en espérant qu'elle sera fiable.

"Comme je le dis toujours, nous avons fait quatre générations de GP2 [la GP2/05 de 2005 à 2007, la GP2/08 de 2008 à 2010, la GP2/11 de 2011 à 2017 et la F2 2018 depuis l'an dernier, ndlr]. Trois d'entre elles étaient fantastiques et l'une d'elles n'était pas bonne. Nous espérons juste tomber dans la bonne catégorie."

Michel "déçu" de l'absence de Motopark

Michel est par ailleurs revenu sur le fait que l'écurie Motopark n'a pas été sélectionnée pour participer à la FIA F3 malgré les performances impressionnantes de ses pilotes Dan Ticktum et Jüri Vips lors de la saison 2018 de F3 Europe, évoquant notamment le grand intérêt manifesté par de très nombreuses structures pour l'ex-GP3 Series.

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"Motopark est l'une des équipes qui n'ont pas été choisies, et j'en étais déçu", indique le Français. "Je comprends pourquoi ils étaient déçus, mais comme je l'ai dit, ce n'était pas une décision facile."

"Je dois dire que j'étais abasourdi, car nous aurions pu avoir plus ou moins le double d'équipes. C'est toujours le même problème. Quand on commence, c'est fantastique et on peut avoir 12 équipes, voire 15 équipes et 45 voitures par exemple. Mais il faut penser au long terme. Je l'ai vu avec le GP3 : nous avions 30 voitures, et peu à peu, il a fallu réduire la voilure, car ça se compliquait. En F3, nous nous en tiendrons à 30 voitures."

Propos recueillis par Jack Benyon

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