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La Formule E a failli abandonner la loterie des qualifications

La loterie des qualifications est l'un des éléments les plus critiqués de la Formule E depuis sa création, et va être conservée pour la saison 2017-18 malgré une proposition alternative.

Le tirage au sort des groupes de qualifications

Le tirage au sort des groupes de qualifications

Sam Bloxham / Motorsport Images

Lucas di Grassi, Audi Sport ABT Schaeffler
Nelson Piquet Jr., NEXTEV TCR Formula E Team, lors du tirage au sort pour les qualifications
Le tirage au sort des qualifications
Nick Heidfeld, Mahindra Racing, lors du tirage au sort pour les qualifications
Le tirage au sort des qualifications
Jean-Eric Vergne, Techeetah, lors du tirage au sort pour les qualifications
Le tirage au sort des groupes de qualifications
Nicolas Prost, Renault e.dams, lors du tirage au sort pour les qualifications
Sébastien Buemi, Renault e.Dams, Lucas di Grassi, Audi Sport ABT Schaeffler
Antonio Felix da Costa, Amlin Andretti Formula E Team, lors du tirage au sort pour les qualifications
Lucas di Grassi, Audi Sport ABT Schaeffler
Mitch Evans, Jaguar Racing, lors du tirage au sort pour les qualifications

Selon le format actuel, les 20 pilotes du plateau sont divisés en quatre groupes de cinq lors d'une loterie, et ces quatre groupes prennent la piste l'un après l'autre en qualifications. Les auteurs des cinq meilleurs chronos rejoignent ensuite la Super Pole, qui décide de leurs positions sur les cinq premiers emplacements de la grille.

Cependant, être tiré au sort dans le premier groupe est généralement un désavantage, puisque l'adhérence de la piste y est souvent bien plus précaire sur ces circuits non permanents. Si bien que sur les "60 pilotes" passés en Super Pole la saison dernière (cinq lors de chacune des 12 courses), seuls trois venaient du Groupe 1 – Sébastien Buemi à Monaco et à Paris, Sam Bird à Berlin.

Mais ce n'est pas tout. Ce format peut également jouer des tours aux pilotes qui se trouvent dans les derniers groupes s'il se met à pleuvoir en cours de séance, comme ce fut le cas pour Lucas Di Grassi, qualifié à deux reprises en dehors du top 10 lors des finales de Battersea Park, qui a perdu le titre à chaque fois ce week-end-là.

"Je n'aime pas ce système. J'ai été très défavorisé en saison 1 et 2 à Londres, et j'ai été favorisé en saison 3", déclare Di Grassi pour Motorsport.com, alors que son rival pour le titre Buemi est tombé dans le premier groupe lors de la finale montréalaise en juillet dernier. "On ne peut pas laisser ça entre les mains de la chance. Ce serait très bien de mettre les candidats au titre dans le même groupe."

"J'espérais que ce soit abandonné", renchérit Buemi. "Quand on va sur un circuit où la loterie joue un grand rôle – il y a deux circuits, Montréal et Mexico, où il était très mauvais de se qualifier dans le groupe 1 – ça peut détruire le week-end."

Abandonné, ça a failli l'être, en effet. Une proposition a été faite pour décider des groupes selon l'ordre du championnat, ce qui aurait permis que les rivaux directs n'aient pas d'avantage l'un sur l'autre et qu'une météo variable n'ait pas d'impact notable.

Alors qu'un pilote pensait même cette modification confirmée, selon les informations de Motorsport.com, les directeurs d'équipe ont reçu l'information contraire lors d'une réunion à Valence, en marge des essais de pré-saison qui ont eu lieu le mois dernier.

Les idées de Bird et Di Grassi

Di Grassi révèle par ailleurs que Sam Bird a suggéré un nouveau format l'an dernier auprès des dirigeants du championnat, mais celui-ci n'a pas été adopté.

"Les groupes sont aléatoires, quatre groupes de cinq", détaille le Brésilien. "Le top 3 de chacun passe au second niveau. Puis on a deux groupes de six, dans lesquels les trois meilleurs sont promus à nouveau. Puis on a six pilotes en Super Pole, et le reste de la grille est établi selon les chronos."

"De cette façon, tout le monde est au même niveau. Peu importe s'il pleut ou non, il faut juste être le meilleur de son groupe. Ce n'est qu'une étape de plus, et ça pourrait être intéressant."

Di Grassi a également proposé un format composé de deux courses, une "pré-finale" et une "finale", pour chaque manche du championnat : la grille de la pré-finale serait le classement du championnat inversé. Nul doute que le spectacle serait au rendez-vous !

 

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