Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse

Sorti de piste, Rosenqvist ne regrette rien

Felix Rosenqvist ne regrette pas sa prise de risque au départ de l'E-Prix de Berlin, mais s'admet désormais vaincu pour le titre de Formule E.

Felix Rosenqvist, Mahindra Racing

Zak Mauger / Motorsport Images

Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing, Sébastien Buemi, Renault e.Dams, Alex Lynn, DS Virgin Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing, avec le Champion du monde de F1, Nico Rosberg et la Gen2
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing, avec le Champion du monde de F1, Nico Rosberg et la Gen2
Felix Rosenqvist, Mahindra Racing

Avec 61 points de retard sur le leader Jean-Éric Vergne à l'aube de l'E-Prix de Berlin et la sixième place sur la grille, Felix Rosenqvist se devait de finir sur le podium, voire de gagner la course, pour maintenir ses chances d'un premier titre en Formule E.

Aussi le pilote Mahindra a-t-il adopté une approche audacieuse à l'extinction des feux, se lançant à l'extérieur au premier virage, mais le manque d'adhérence l'a contraint à sortir de la piste, si bien qu'il s'est retrouvé 15e en sortie de courbe.

"J'ai pris un risque par l'extérieur, car j'ai vu tout le monde s'agglutiner à l'intérieur, et je me suis dit que c'était le moment de tenter d'obtenir un bon résultat, que j'avais besoin d'un bon résultat", déclare Rosenqvist pour Motorsport.com. "Cela n'a pas fonctionné."

"J'ai freiné un peu trop tard et j'ai commis une erreur. Il suffit d'un rien pour partir à la faute, on roule sur les boulettes de gomme et on perd complètement l'adhérence. Mais il fallait que je fasse quelque chose. Si j'étais tranquillement resté à la sixième place, cela aurait été pareil de toute façon. Je me suis juste dit qu'il fallait que je prenne un risque pour réduire l'écart au championnat."

Contre toute attente, celui qui a signé trois pole positions et deux victoires cette saison a eu toute la peine du monde à remonter dans le peloton lors de cette course. Rosenqvist a échoué aux portes des points, au 11e rang, grâce à des incidents survenus devant lui lors des derniers tours.

"Je m'attendais plus ou moins à finir huitième ou septième après ça, si j'avais un bon rythme, mais mon rythme a été vraiment pourri pendant toute la course", déplore le Suédois. "J'étais plus ou moins dans l'air propre en permanence et je m'attendais à gagner de l'énergie car les gars devant moi étaient toujours en bataille, mais je n'en ai jamais été proche, pas même en fin de relais. Nous devons étudier ce qui s'est passé, car on dirait que je consommais beaucoup d'énergie aussi."

Rosenqvist abdique

Enregistrant un zéro pointé alors que Vergne a fini sur le podium, Rosenqvist accuse désormais 76 longueurs de retard avec 87 points à prendre. Autant abdiquer, d'autant que ses rivaux sont désormais nombreux dans ses rétroviseurs : Daniel Abt, Sébastien Buemi et Lucas Di Grassi ne sont qu'à un, quatre et dix points de la troisième place respectivement.

"À partir de maintenant, je vais juste faire de mon mieux pour obtenir un bon résultat à chaque course, mais sûrement sans prendre autant de risques, car désormais, je dois également regarder derrière moi pour défendre ma troisième place", reconnaît Rosenqvist. "Les miracles existent, mais il est presque mathématiquement impossible [de remporter le titre] désormais."

Cette situation est difficile à encaisser. D'autant que la saison dernière, celui qui était rookie avait franchi le drapeau à damier en vainqueur lors des deux courses de l'E-Prix de Berlin, certes pénalisé pour unsafe release lors de la seconde.

"La voiture n'est pas aussi équilibrée. Je ne pense pas que ce soit un problème de groupe propulseur, c'est plus que je ne sens pas la voiture que je pilote, et je pense que cela me coûte beaucoup d'énergie et de temps au tour, dans chaque virage. Cette voiture se comporte de façon très différente de l'an dernier", conclut Rosenqvist.

Propos recueillis par Alex Kalinauckas

Be part of Motorsport community

Join the conversation
Article précédent "Peu probable" que Rosberg devienne directeur d'équipe Mercedes
Article suivant Le format Mario Kart de la Formule E détaillé

Top Comments

Il n'y a pas de commentaire pour le moment. Souhaitez-vous en écrire un ?

Sign up for free

  • Get quick access to your favorite articles

  • Manage alerts on breaking news and favorite drivers

  • Make your voice heard with article commenting.

Motorsport prime

Discover premium content
S'abonner

Edition

Suisse