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Un final qui passe mal pour Albuquerque

Envoyé en tête-à-queue dans les dernières minutes des 24 Heures de Daytona par Ricky Taylor, Filipe Albuquerque ne cache pas son amertume face à la manœuvre de son rival, qui l'a privé de la victoire.

#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque; #10 Wayne Taylor Racing Cadillac DPi: Ricky Taylor, Jordan Taylor, Max Angelelli, Jeff Gordon

Photo de: Alexander Trienitz

#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque
Les vainqueurs #10 Wayne Taylor Racing Cadillac DPi: Ricky Taylor, Jordan Taylor, Max Angelelli, Jeff Gordon
#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque
#10 Wayne Taylor Racing Cadillac DPi: Ricky Taylor, Jordan Taylor, Max Angelelli, Jeff Gordon
Douche de champagne pour #10 Wayne Taylor Racing Cadillac DPi: Ricky Taylor, Jeff Gordon
#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque
Filipe Albuquerque, Action Express Racing
Filipe Albuquerque, Action Express Racing
Les vainqueurs #10 Wayne Taylor Racing Cadillac DPi: Ricky Taylor, Jordan Taylor, Max Angelelli, Jeff Gordon
#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque
#5 Action Express Racing Cadillac DPi: Joao Barbosa, Christian Fittipaldi, Filipe Albuquerque

Hormis quelques incursions en tête de la Nissan Onroak DPi de l'équipe ESM et du Multimatic Riley DPi du VisitFlorida Racing, la lutte pour la première place s'est surtout résumée à une bagarre entre les trois prototypes Cadillac DPi-V.R. au départ de ces 24 Heures de Daytona.

Si les deux Cadillac du Action Express Racing avaient verrouillé la première ligne, c'est celle du Wayne Taylor Racing qui pointait en tête lors des premiers instants de la course, mais les voitures du Action Express se hissaient régulièrement au commandement tout au long de l'épreuve, à la faveur des stratégies de ravitaillement.

Dans la dernière demi-heure, la bataille atteignait son paroxysme, en raison d'une dernière neutralisation qui regroupait les leaders, Filipe Albuquerque occupant la première place sur le Cadillac no5 du Action Express Racing, suivi comme son ombre par celui du Wayne Taylor Racing pilotée par Ricky Taylor.

Ce dernier se portait à la hauteur du pilote portugais, et les deux voitures entraient une première fois en contact. À moins de dix minutes de l'arrivée, Taylor tentait de se glisser à l'intérieur de son rival mais l'attaque se montrait optimiste, et la voiture du WTR accrochait celle du Action Express, qui partait en tête-à-queue. Une manœuvre qui n'était pas sanctionnée par la direction de course.

Ricky Taylor passait la ligne d'arrivée en vainqueur et pouvait célébrer son succès en compagnie de ses équipiers du Wayne Taylor Racing, Jordan Taylor, Max Angelelli et Jeff Gordon.

"Ce n'était pas une manœuvre correcte, tout le monde le sait"

Quant à Albuquerque, qui faisait équipe avec Christian Fittipaldi et Joao Barbosa sur la voiture du Action Express Racing, il échouait à six dixièmes de seconde de son adversaire après une remontée rageuse dans les derniers tours, et se montrait forcément amer après l'épreuve.

"Je ne pense pas que j'ai perdu la course", lâchait-il. "Je ne cours pas comme ça. Il m'a heurté à l'arrière, je suis donc parti en tête-à-queue et il ne m'a même pas attendu, il est juste parti comme ça."

"Si les officiels ne sont pas d'accord avec le fait qu'il devait être pénalisé, ok. Il aurait pu m'attendre pour la bagarre, mais cela ne s'est pas passé comme ça."

"Je suis content de ce que j'ai fait. Je suis quand même revenu, mais pas assez, c'est comme ça."

"Ce n'était pas une manœuvre correcte, tout le monde le sait", conclut le pilote portugais. "Le public le sait, les fans le savent."

"Au Tour de France, lorsqu'un gars tombe, les autres l'attendent. C'est une grande course, nous avons plongé dans le virage et freiné tard. Cela arrive. On a pu voir Wayne Taylor, le père, avec ses mains sur la tête."

"Si c'est un vrai compétiteur qui fait une erreur, il doit just ralentir. Attendre, et ne pas partir, et il est parti. Un vrai coureur, d'après moi, serait au fond de lui-même un peu honteux de cette victoire."

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