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Alonso ravi de "sentir la magie" d'Indianapolis de nouveau

Près de deux ans après sa première participation aux 500 Miles d'Indianapolis, Fernando Alonso s'est montré satisfait d'avoir pu de nouveau poser les roues sur le mythique speedway.

Fernando Alonso, McLaren Chevrolet

Photo de: IndyCar Series

Fernando Alonso, McLaren Chevrolet et Gil de Ferran
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet
Fernando Alonso, McLaren Chevrolet

Deux ans après sa première tentative, Fernando Alonso est donc de retour aux 500 Miles d'Indianapolis, et la route vers la course du 26 mai a débuté ce mercredi, avec une journée d'essais tronquée par la pluie.

N'ayant pas conduit d'IndyCar en compétition depuis le 28 mai 2017, l'Espagnol devait se soustraire au "Refresher Test", où les pilotes revenant sur le Brickyard doivent parcourir dix tours au dessus de 210 mph (338 km/h), puis dix boucles au dessus de 215 mph (346 km/h) de moyenne.

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Fernando Alonso n'a pu compléter que la première des deux phases, mais il a expliqué en conférence de presse que rien que le fait de pouvoir de nouveau limer le bitume de l'Indianapolis Motor Speedway représentait une bonne chose, même si la météo s'est montrée peu coopérative.

"C'était bien d'être de retour, de sentir de nouveau la magie de cet endroit. Quand vous venez le matin, vous voyez de nouveau la taille immense du complexe, vous faites les tests médicaux, vous vous préparez à piloter l'après-midi, et c'était une bonne sensation. Malheureusement, la météo n'était pas assez stable pour respecter le planning initial des essais. Nous n'avons probablement pas fait assez de tours et passé assez de temps avec la voiture pour avoir de vraies sensations, mais c'est la même chose pour tout le monde."

Dès son tour de sortie, le pilote de la McLaren numéro 66 a été contraint de stopper sa monoplace, en raison d'un problème électrique. Un souci qui n'a pas été une grande surprise selon Alonso, mais dont la résolution a été rendue plus complexe par le timing serré imposé par les averses du début de journée.

"Bien sûr nous avons perdu un peu de temps au début mais c'était plus ou moins attendu car la voiture est toute nouvelle, tout a été construit sur la dernière semaine, donc nous nous attendions à y aller pas à pas, en faisant des runs courts au début. Si nous avions pu avoir les tours d'installation à mi-journée, nous aurions peut-être pu découvrir ces problèmes et avoir des heures pour travailler dessus dans l'après-midi. Mais comme la météo a tout retardé, nous avons fait notre tour d'installation à 17h30 et il y restait peu de temps pour reprendre la piste."

Le double Champion du monde de Formule 1 n'a donc pas pu effectuer beaucoup de révolutions autour de l'ovale de quatre kilomètres (29 tours bouclés seulement) mais il estime que tout temps de piste est bon à prendre, dans une discipline où il n'évolue que très rarement.

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"C'est toujours important, dès que vous pouvez avoir du temps de piste vous pouvez découvrir des problèmes avec la voiture, des choses sur lesquelles vous pouvez vous améliorer en tant que pilote, il y a toujours de quoi apprendre, surtout pour nous avec une toute nouvelle voiture. Aujourd'hui a été une journée difficile au niveau de la météo et du temps de piste pour les rookies, mais on ne peut rien y faire et on espère pouvoir rattraper ce temps [perdu]."

En plus de découvrir le comportement d'un nouveau kit aérodynamique (il avait en effet participé aux 500 Miles avant l'arrivée du kit unique en 2018), Fernando Alonso doit le faire au sein d'une équipe ne disposant pas de l'expérience des mastodontes de la discipline. Une contrainte qui rend cet assaut sur l'Indy 500 plus difficile, mais qui pourrait être plus gratifiant en cas de succès.

"C'est un plus grand défi, il n'y a pas de doutes, nous devons tout faire nous-même, pas seulement au niveau des réglages et du côté technique, mais aussi côté opérationnel, au niveau de la stratégie, de la gestion des trains de pneus, du côté du confort pour le pilote, mouler les grips du volant, toutes ces choses basiques qui étaient prêtes chez Andretti, et qui nous ont fait gagner beaucoup de temps", explique-t-il.

"C'est un plus gros challenge mais il pourrait apporter de plus grandes récompenses aussi. Chez Andretti, on suivait juste ce qui allait bien. D'un côté c'était plus simple mais peut-être que maintenant on pourra découvrir de nouvelles choses, on l'espère."

Fernando Alonso fera son retour sur le Brickyard d'Indianapolis le mardi 14 mai, à l'occasion de la première journée d'essais officiels en vue des qualifications des 500 Miles, qui auront lieu le week-end des 18 et 19 mai.

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