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Bourdais forcé de "rouler avec des idiots" en fond de peloton

Treizième du Grand Prix de Long Beach, Sébastien Bourdais a joué de malchance après un début de course impeccable, et repart de Californie déçu.

Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda

Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda

Phillip Abbott / Motorsport Images

Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Le poleman Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda
Sébastien Bourdais, Dale Coyne Racing with Vasser-Sullivan Honda

Parti neuvième sur la grille de départ, le Manceau était l'un des seuls pilotes de pointe à choisir de prendre le départ avec un train de gommes dures. Un choix qui allait s'avérer payant, puisque Bourdais parvenait à monter à la quatrième place lors du premier relais.

"J'avais de bonnes sensations pendant le warm-up et les conditions sont restées les mêmes pour la course. C'était une décision difficile de démarrer sur les pneus durs, mais j'étais confiant quant au fait que c'était la bonne chose à faire tant que j'arrivais à conserver ma position au départ, et c'est exactement ce qui s'est passé. J'ai ensuite commencé à attaquer car je pouvais sentir que les gars en tendres étaient en mode conservation. J'ai commencé à me dire que ça pouvait être une bonne journée et j'ai passé quelques voitures, avant d'arriver derrière Dixon et de conserver ma place."

Une fois la première salve d'arrêts passée, le pilote du Dale Coyne Racing était toujours derrière Scott Dixon, mais les deux hommes étaient désormais deuxième et troisième, loin du leader, Alexander Rossi : "On est arrivé au premier arrêt au stand, et je suis sûr que Dixon a moins rempli son réservoir et a passé Power. On est resté sur notre stratégie, on a mis les pneus tendres, et à ce moment il semblait que la course venait à nous. Bien sûr, Rossi était sur une autre planète, mais à part lui on était là."

Est ensuite venu le fameux dépassement... Une manœuvre incroyable à travers les retardataires, mais qui a finalement été déterminée comme étant illégale par la direction de course, le Français plaçant ses deux roues de droite sur la ligne de sortie des stands. Sébastien Bourdais devait alors laisser repasser Scott Dixon, mais pour mieux le dépasser de nouveau au tour suivant ! De quoi légèrement estomper la colère et l'incompréhension vis-à-vis de la pénalité...

"J'ai passé Dixon au restart et la direction de course a décidé que c'était une infraction. C'était intéressant, parce que je ne sais pas trop ce que j'étais supposé faire. J'étais engagé, il y avait de la place et il ne m'a pas vu, donc il ma poussé dans la voie des stands. Si vous êtes forcé à aller dans la pitlane, je ne pense pas que ce soit votre responsabilité. Donc j'étais assez fâché, et je l'ai passé directement de nouveau, j'en étais assez content."

Une fois Rossi passé une nouvelle fois par la voie des stands, Bourdais s'est emparé de la tête de l'épreuve et retardait son dernier passage par la pitlane. Malheureusement pour lui, son équipier Zachary Claman DeMelo perdait le contrôle de sa monoplace au 60e tour et déclenchait une nouvelle neutralisation.

Une intervention de la voiture de sécurité qui intervenait au pire moment pour Bourdais, mais également Dixon, Josef Newgarden et Tony Kanaan. Dans le cas du Manceau, le drapeau jaune a été agité au moment où il rentrait dans la pitlane, il devait donc passer une première fois sans s'arrêter, avant de revenir au stand sous neutralisation, repartant dans le paquet.

"Notre groupe a tenté de rester trop longtemps [en piste] et le drapeau jaune est arrivé. La direction de course aurait pu attendre quelques secondes avant de fermer les stands, mais ils ne l'ont pas fait et on s'est retrouvé à l'arrière où on a dû rouler avec des idiots."

Et Bourdais d'expliquer plus précisément les aventures qu'il a rencontrées dans le peloton, avec un tête-à-queue provoqué à l'épingle par Jordan King, et bien d'autres péripéties...

"J'étais côte-à-côte avec Kimball et il ne m'a pas laissé de place, endommageant mes deux suspensions du côté gauche. C'était globalement fini à ce moment. J'ai fait une erreur car j'ai essayé de le dépasser de nouveau dans le Turn 9. La voiture ne tournait plus. Ensuite, dans le virage suivant, Jordan King s'est pris pour un héros et nous a sorti. Après, j'ai dû gérer un autre idiot, Matheus Leist, qui a essayé de nous crasher tous les deux à plusieurs reprises. Il n'y avait pas grand chose à récupérer après ça, c'est très décevant."

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