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Briscoe : Après l'Amérique, "rien n'est vraiment bosselé pour moi !"

Le pilote australien, qui partage la Ford GT #69 avec Richard Westbrook et Scott Dixon, se sent très bien sur le Circuit des 24 Heures du Mans, bien loin des pistes bosselées des États-Unis !

#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT: Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon

#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT: Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon

Marc Fleury

#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT : Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon
#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT : Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon
#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT : Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon
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#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT: Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon
#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT: Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon
#69 Ford Chip Ganassi Racing Ford GT: Ryan Briscoe, Richard Westbrook, Scott Dixon

Les pilotes des 24 Heures du Mans doivent composer avec une nouvelle surface sur la partie commune partagée avec le Circuit Bugatti. Ce dernier a reçu un nouveau revêtement en octobre dernier, qui est utilisée de la sortie des chicanes Ford à l'entrée des esses du Tertre Rouge. Le pilote Ford Ryan Briscoe est satisfait de ces changements.

"C'est vraiment bien, il y a beaucoup de grip, la surface est de très bonne qualité. Cela me rappelle un peu Watkins Glen, ils ont refait la surface l'an dernier, et le circuit est si rapide, c'est un peu la même chose", explique-t-il à Motorsport.com. "On a seulement deux virages, mais c'est vraiment bien. La surface est très lisse, on prend les vibreurs donc on crée nos propres bosses !"

Formé à l'école européenne, Briscoe est parti en 2005 vers les États-Unis où il a depuis passé le plus clair de sa carrière, que ce soit en IndyCar ou dans les différents championnats d'Endurance. Ayant piloté sur des circuits extrêmement bosselés, l'Australien estime que cela l'aide sur les circuits européens, qui sont tous lisses pour lui au final !

"Rien n'est véritablement bosselé pour moi ici, on dirait un billard ! On va sur des circuits très bosselés en Amérique. J'essaie de trouver des endroits bosselés ici, mais il n'y en a pas vraiment, on trouve des vibreurs. Il y a un petit changement de surface à l'entrée des virages Porsche, ce qui est bien car ça ajoute du caractère au circuit, un peu de défi pour les pilotes."

La particularité du Circuit des 24 Heures du Mans, c'est bien entendu ces nombreuses portions de routes ouvertes au public le reste de l'année, comme l'enchaînement d'Indianapolis. Une donnée que les pilotes et les ingénieurs doivent garder à l'esprit pour le réglage de la voiture.

"Le circuit est en très bon état, vous sentez, quand vous êtes sur les routes ouvertes, qu'il y a un peu moins de grip, et c'est quelque chose dont on doit être conscient en piste."

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