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Ils revivent au Mans : Nick Heidfeld

La carrière de Nick Heidfeld en F1 débute en 2000 au sein de l’écurie française Prost Peugeot

La carrière de Nick Heidfeld en F1 débute en 2000 au sein de l’écurie française Prost Peugeot. Malgré une mauvaise voiture et zéro point au compteur, il se fait remarquer en terminant plusieurs fois devant son coéquipier Jean Alesi. Entre 2001 et 2003, il roule pour Sauber-Petronas, où il croisera d’illustres coéquipiers comme Kimi Räikkönen, Felipe Massa et Heinz-Harald Frentzen. C’est avec ce team qu’il réalisera le premier podium de sa carrière au Grand Prix du Brésil 2001. En 2004, Heidfeld trouve un volant chez Jordan-Cosworth. La voiture n’est pas compétitive, mais il inscrit néanmoins trois points et domine son équipier Giorgio Pantano, que l’on ne verra plus en F1 en dépit d’un titre GP2 en 2008. L’année suivante, Heidfeld décroche un baquet Williams aux côtés de Mark Webber. Il fait une bonne saison et décroche trois podiums dont une deuxième place, son meilleur résultat en course. Il signe également la première et unique pole de sa carrière sur le circuit du Nürburgring. Malheureusement, Heidfeld est victime d’un accident durant les essais privés à Monza et doit déclarer forfait pour les cinq dernières courses de la saison. Entre 2006 et 2009, il intègre la nouvelle équipe BMW. Au cours de sa première saison, Heidfeld accroche souvent les points. Il obtient même le premier podium de l’écurie grâce à une troisième place en Hongrie. L'année 2007 sera la meilleure saison de Nick Heidfeld : il signe deux podiums et finit quatorze fois dans les points sur dix-sept courses. Au final, il finit 5e du championnat pilotes, son meilleur classement en F1. Les deux saisons suivantes sont décevantes pour l’Allemand. En 2008, la voiture convient mal à son style de pilotage. Il réalise cependant une deuxième place au Grand Prix du Canada derrière Robert Kubica, son coéquipier qui monte, et qui offre sa première victoire à l’écurie BMW au Canada. En 2009, la monoplace est un échec total. La saison est désastreuse. A la fin de l'année, BMW décide de mettre un terme à son contrat. Sans volant en 2010, Peter Sauber le choisit pour remplacer Pedro de la Rosa pour les cinq derniers Grand Prix de la saison. En 2011, suite à l’accident de Robert Kubica, il est appelé par Lotus Renault. Après onze courses, l'Allemand est remercié et remplacé par Bruno Senna : Nick n’a pas affirmé la position de leader attendue par l’équipe, qu’occupait naturellement Kubica. En 12 saisons de F1, Nick Heidfeld a disputé 183 Grand Prix, marqué 259 points, signé une pole position et 13 podiums (8 deuxième places et 5 troisième places). En 2012, Heidfeld signe avec Rebellion Racing et se tourne vers l'Endurance. Pour l’Allemand, c’est un retour aux sources : avant ses débuts en F1, Quick Nick avait déjà disputé l’épreuve en 1999 avec Mercedes, mais avait été contraint à l'abandon. En 2012, il participe aux 24 Heures du Mans ainsi qu'à d'autres courses de championnat WEC. Il pilote la Lola-Toyota n°12 dans la catégorie LMP1, avec Neel Jani et Nicolas Prost. Au Mans, l'Allemand termine à la 4e place. En ce début de saison 2013, Heidfeld poursuit l'aventure avec l'écurie Rebellion, toujours aux côtés de Jani et Prost. Il termine 5e des 6H de Silverstone et des 6H de Spa. Fin juin, il participera à sa 3e édition des 24 Heures du Mans.

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