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Un problème électrique a coûté du temps de piste à Peugeot

Peugeot a bouclé un roulage partiellement solide au Mans lors de la Journée Test, car le manque de temps de piste de la #93 s'est fait sentir dans le programme d'essais.

#93 Peugeot Totalenergies Peugeot 9X8 - Paul Di Resta

Photo de: Nikolaz Godet / Motorsport.com

Pour la grande première de la Peugeot 9X8 sur le circuit des 24 Heures du Mans, ce sont 90 tours qui ont été accumulés pour enregistrer des données précieuses. Néanmoins, si le roulage a été très satisfaisant sur la #94, il l’a beaucoup moins été sur la #93, qui a rencontré un problème électrique en pleine ligne droite des Hunaudières dans la matinée. La séance a été interrompue par un drapeau rouge et ce n’est qu’en fin de journée que le constructeur français a pu renvoyer la voiture en piste pour six tours avant le drapeau à damier.  

"Nous avons pu dérouler notre plan de travail en dépit d’un problème électrique sur la #93 que nous avons souhaité sécuriser avant de reprendre la piste", explique Jean-Marc Finot, patron de Stellantis Motorsport, sans entrer dans les détails du problème rencontré.  

Avec quatre des six pilotes présents – Jean-Éric Vergne et Nico Müller étant retenus par la Formule E à Jakarta –, il a tout de même fallu changer un petit peu les choses en raison de ce pépin technique.  

"Chacun travaille de son côté mais on a dû adapter notre plan de l’après-midi car on savait que la 93 ne serait pas en mesure de faire la totalité de la deuxième séance, donc on a changé deux ou trois petites choses au niveau de nos tests", confirme Loïc Duval. "On a dû s’adapter à ça donc ce n’est pas l’idéal, et puis c’est sûr que ça ne l’est pas non plus car ce qui arrive à la voiture sœur peut aussi nous arriver à nous. Ce n’est jamais cool. Maintenant voilà, ils ont fait ce qu’ils avaient à faire. Je ne sais pas s’ils vont analyser ce qui s’est passé dans le détail et si on peut faire quelque à ça, ou si on a ce qu’on a et on verra comment ça se passe."

La fiabilité est un talon d’Achille sur lequel Peugeot continue de travailler, mais au terme de cette Journée Test conclue avec le septième chrono et moins d’une seconde de retard sur la référence fixée par Ferrari, la satisfaction l’emporte.  

"Nous avons physiquement pris connaissance avec la piste, même si historiquement ce n’est bien sûr pas une découverte", résume Jean-Marc Finot. "Nous avons pu tester les limites de la voiture sur certains setups, et avons aussi consacré cette journée à rouler pour voir l’évolution du comportement de la voiture en fonction du nombre de relais, par exemple avec l’usure de pneus, afin de glaner un maximum de données avant de rentrer dans le vif du sujet et la semaine du Mans."

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