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Rosenqvist craint d'abîmer sa voiture sur les vibreurs

Champion 2015 de F3 Europe, vainqueur de l'ePrix de Berlin récemment disputé en Formule E, le très polyvalent Felix Rosenqvist va faire ses débuts aux 24 Heures du Mans cette semaine.

#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist

#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist

JEP / Motorsport Images

#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
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#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
Felix Rosenqvist, Dragonspeed
#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist
#21 Dragonspeed Oreca 07 Gibson: Henrik Hedman, Ben Hanley, Felix Rosenqvist

B.V., Le Mans - Felix Rosenqvist fait équipe avec Ben Hanley et Henrik Hedman au volant d'une ORECA 07 engagée par l'équipe DragonSpeed, et montre un enthousiasme certain pour sa première venue dans la Sarthe. "C'est une course qu'on rêve de faire depuis l'enfance !" s'exclame-t-il au micro de Motorsport.com.

Rosenqvist bénéficie des conseils d'un pilote disposant d'une expérience certaine au Mans : son compatriote Stefan Johansson, qui a participé aux 24 Heures à 15 reprises entre 1983 et 2012 avec trois victoires dans sa catégorie, dont une au général en 1997.

"Il me donne des conseils, et ce serait stupide de ne pas écouter quelqu'un qui a tellement couru au Mans et qui y a gagné", reconnaît Rosenqvist. "Il me conseille des choses très importantes, comme ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre et ne pas prendre de risques."

"L'équipe est importante, plus que dans les autres sports auto, donc il faut être humble et essayer de prendre de l'expérience. Je ne serai pas un pilote qui débarque en espérant prouver quelque chose à tout le monde. Je prendrai les choses avec du recul pendant toute la semaine et toute la course."

Un pilote polyvalent

Felix Rosenqvist est le genre de pilote prêt à prendre le volant de tout ce qui a quatre roues. L'an dernier, le Suédois avait couru en Indy Lights, en Blancpain GT Series, en Intercontinental GT Challenge, en DTM, en ADAC GT Masters, en WeatherTech Sports Car Championship, en Formule E et au Grand Prix de Macao de Formule 3... rien que ça !

Rosenqvist a donc participé aux 24 Heures de Spa-Francorchamps en juillet dernier : il faisait équipe avec Tristan Vautier et Renger van der Zande dans une Mercedes AMG GT3 engagée par AKKA ASP. Une expérience précieuse en vue du double tour d'horloge sarthois.

"Spa a été utile pour apprendre comment ça se passe en Endurance", confirme le Suédois. "Cela m'a ouvert les yeux quant à des aspects clés de ce type de course, j'ai compris le mode de travail de l'équipe. Mais au Mans, il y a de nouvelles choses à apprendre, comme les situations où les LMP1 sont 50 ou 60 mètres derrière à la sortie d'une chicane et où elles dépassent les LMP2 comme des fusées quand elles utilisent leur boost."

"Mais ensuite, on est plus ou moins à la même vitesse et on pense presque pouvoir repasser devant, mais on reste juste derrière. L'énergie limitée dont elles disposent rend les choses intéressantes, mais naturellement, elles veulent l'utiliser en sortie de chicane et de virage."

La durabilité des nouvelles LMP2 est toutefois source d'inquiétude pour de nombreuses écuries. Rosenqvist craint en particulier les passages répétés sur les vibreurs lors de cette course de 24 heures.

"Je pense qu'il y a eu des problèmes de fiabilité sur les LMP2, donc tout d'abord, il faut essayer de faire une course propre de ce point de vue-là. Nous ne pouvons pas prendre tous les vibreurs et endommager la voiture, donc cela commence par là. Survivre sera crucial, évidemment."

"Gagner, c'est une toute autre affaire. Il faut voir à quel point nous pouvons mettre Henrik [Hedman] à l'aise dans la voiture. Ben [Hanley] est très rapide en ELMS et en essais. Je reste vraiment en phase d'apprentissage, mais j'y arrive", conclut-il.

Propos recueillis par Sam Smith

 

 

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