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Simon Trummer : "Les choses ne se sont pas passées comme on le dit à la Toyota"

Le pilote suisse exprime sa propre version sur la dynamique de l'accident qui a mis KO la TS050 numéro 9 et la voiture de la Manor TRS Racing. "C'est Lapierre qui m'a coupé la route !".

#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov

Photo de: Marc Fleury

#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Simon Trummer
Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov, CEFC Manor
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson : Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson : Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
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#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
#25 CEFC Manor Oreca 07 Gibson: Roberto Gonzalez, Simon Trummer, Vitaly Petrov
La grande roue

Le dernier espoir de la Toyota d'obtenir une victoire dans les 24 Heures du Mans a disparu samedi 17 juin tard dans la nuit, lorsque Nicolas Lapierre est entré en collision avec une des deux Oreca-Gibson de l'équipe CEFC Manor TRS Racing, à bord de laquelle à ce moment-là s'asseyait l'Helvétique Simon Trummer.

Chez Toyota Racing on en est convaincus. La sortie de scène de la TS050 Hybrid du trio Lapierre-Kunimoto-Lopez a été provoquée par un contact avec la voiture numéro 25 de l'équipe britannique. Comme témoignage de cela, le communiqué de presse émis par la maison japonaise, dans lequel l'expert français déclare avoir été frappé sur la partie postérieure, en exprimant tout son regret.

Pourtant, la version du Suisse sonne de manière très différente. Dans une interview exclusive à Motorsport.com Suisse, le Bernois explique son point de vue. "Les choses ne se sont pas passées comme l'a expliqué la Toyota", commence le Suisse de 28 ans.

Non seulement Trummer accusait un retard de huit tours sur la numéro 9 japonaise, mais il était très engagé à défendre la quatrième place en Classe LMP2 et la sixième place absolue, raison pour laquelle dans l'habitacle régnaient une calme et une concentration absolues.

 

Celle-ci la version de Simon. "J'ai vu Lapierre à droite, dans les rétroviseurs, peu avant la Virage Porsche. A ce moment-là il n'était pas encore devant moi. Puis le choc…".

"Ce n'a pas été ma faute", souligne le pilote du Capitole. "Je me suis maintenu sur la gauche exprès, car sur la droite provenaient deux voitures de la voie des box. Nicolas avait assez d'espace pour tenter le dépassement sur la droite, et je ne sais pas pour quelle raison il a décidé de se déplacer étonnamment sur le côté où je voyageais tranquillement. A ce point-là, la collision a été inévitable".

Même la course de Simon Trummer et de la voiture numéro 25 s'est interrompue après moins de moitié compétition. "C'est la première fois qu'un accident comme ça m'arrive. J'allais à 260 kilomètres horaires environ, lorsque je me suis écrasé dans le mur. L'impact a été terrible, la voiture s'est détruite complètement", a ajouté l'ex-pilote de GP2.

Heureusement, aucune conséquence à cause du violent crash. "J'ai subi quelques lésions et j'ai les pieds douloureux, outre le coup du lapin dû à l'impact. On voulait me transporter à l'hôpital pour des contrôles, mais je préfère me faire soigner dans une clinique près de moi".

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