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Première année mondiale convaincante pour l'équipe de Paolo Simoncelli

Le SIC58 Squadra Corse, dirigé par le père de Marco Simoncelli, a réussi son entrée en Grand Prix, et compte bien poursuivre sur cette lancée en 2018.

Paolo Simoncelli

Gold and Goose / Motorsport Images

Paolo Simoncelli
Carmelo Ezpeleta, Pdg Dorna Sports, Paolo Simoncelli
Marco Simoncelli (San Carlo Honda Gresini)
Paolo Simoncelli, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tatsuki Suzuki, SIC58 Squadra Corse
Tony Arbolino, SIC58 Squadra Corse
Tony Arbolino, SIC58 Squadra Corse

Plus de six ans après le drame, le souvenir de Marco Simoncelli demeure prégnant dans les cœurs de toutes les personnes impliquées en Grand Prix. Ainsi, les pilotes ne manquent jamais de rendre hommage au défunt Italien lors de l'annuelle manche malaisienne du calendrier, et le circuit de Misano porte son nom depuis 2012.

Cette année, la mémoire de Simoncelli a été perpétuée par son père, Paolo, avec un engagement en Moto3 de la structure SIC58 Squadra Corse. Une première année qui s'est plutôt bien déroulée, notamment pour Tatsuki Suzuki, auteur de sa meilleure saison en quart de litre, de loin sa plus aboutie jusqu'ici.

"En ce qui concerne Tatsuki, 2017 a été sa troisième saison en Moto3, mais cette année a été très utile pour lui", explique ainsi Paolo Simoncelli à Motorsport.com. "Il a trouvé la bonne équipe et les personnes avec qui travailler, et cela l'a aidé à faire un pas en avant dans son style de pilotage, et sa capacité à aborder la course. Il est très rapide et nous sommes impatients de débuter une nouvelle saison avec lui."

En effet, alors que le Japonais n'avait inscrit au total que 25 points lors de ses deux premières saisons en Moto3, l'année 2017 s'est avérée bien plus fructueuse, avec pas moins de 71 unités marquées et une 14e place au championnat.

Saison réussie pour Suzuki, compliquée pour Arbolino

Au-delà du bilan comptable, c'est également la dynamique positive dans laquelle celui-ci a su s'inscrire lors des dernières manches qui rend optimiste le patron de l'équipe. Suzuki a ainsi obtenu sa meilleure qualification lors de la toute dernière course, à Valence, avec une quatrième place, après avoir fini à cette même position sur ses terres un mois plus tôt, à Motegi.

Pour Tony Arbolino, l'exercice 2017 a en revanche été un peu plus compliqué, puisque le transalpin n'est entré dans les points qu'une seule fois, avec une 14e place en début de saison en Argentine. Des débuts délicats donc dans la catégorie, à telle enseigne que celui-ci sera remplacé l'an prochain par son compatriote, Niccolò Antonelli, en provenance directe de l'équipe Ajo Motorsport. "Tony est un rookie, sa première année en Grand Prix a été intense et parfois difficile, mais il est jeune et talentueux, il va prendre le pli", assure Paolo Simoncelli, alors que son pilote évoluera en 2018 chez Marinelli Rivacold Snipers.

Passés les bons résultats initiaux de son équipe, l'Italien assure que le fait d'avoir franchi le pas en Moto3 a eu un effet cathartique sur lui, même si − on peut le comprendre aisément − quelques manches ressassent plus que d'autres certaines pensées. "Ce fut difficile, et ça l'est toujours", confirme Paolo Simoncelli. "Sur certains circuits c'est plus difficile que sur d'autres. Les souvenirs resurgissent. Et quand vient le jour de la course, je me sens toujours anxieux et nerveux, tout comme je l'étais lorsque Marco courrait."

Reste que cet engagement en compétition et les hautes responsabilités qui vont avec permettent à l'Italien d'assurer la mémoire de son fils en Grand Prix. "Cela a été une expérience positive jusqu'ici. Cela a peut-être été stressant, mais cela me maintient occupé, ce qui est bien.  J'ai moins de temps pour penser, et cela m'aide moi et ma famille à mieux vivre."

Interview Gabriel Lima

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