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Des améliorations moteur encore en vue pour Suzuki cette saison

Requinqué cette saison par le retour des concessions techniques, le constructeur japonais entend poursuivre ses efforts sur le bloc propulseur lors de la seconde moitié du championnat.

Le stand du Team Suzuki MotoGP

Le stand du Team Suzuki MotoGP

Gold and Goose / Motorsport Images

Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Alex Rins, Team Suzuki MotoGP, au freinage
Andrea Iannone, Team Suzuki MotoGP
Andrea Iannone, Team Suzuki MotoGP
Andrea Iannone, Team Suzuki MotoGP
Andrea Iannone, Team Suzuki MotoGP

Cette saison, Suzuki était attendu au tournant, et l'équipe japonaise est loin d'avoir déçu. Bénéficiant de nouveau des concessions, la marque d'Hamamatsu affiche une tout autre allure que l'an dernier à pareille époque.

Et il n'y a qu'à se pencher vers les classements pour s'en convaincre : trois podiums d'affilée, signés entre l'Argentine et l'Espagne, et pas moins de 99 points au compteur qui permettent au team japonais de pointer à la cinquième place du championnat, soit cinq rangs de mieux et... 70 unités de plus que l'an passé au même stade de la saison !

Handicapé en 2017 par une mauvaise direction technique prise au niveau de son groupe motopropulseur, Suzuki a eu tout le loisir durant l'hiver de rectifier le tir, et continue à cet effet de fournir son effort en cours de saison.

"Le fait de ne pas avoir de limites pour les tests nous détend, car si nous nous trompons dans la direction [technique] avec notre moteur, nous pouvons faire marche arrière", reconnaît ainsi Ken Kawauchi, le directeur technique de l'équipe japonaise, au micro du site officiel du MotoGP. "Nous sommes contents des performances de notre moteur, mais nous prévoyons encore des améliorations pour les prochaines manches."

Une bonne base de châssis

Outre les gains au niveau du moteur, la structure chaperonnée sur le terrain par Davide Brivio a pu également bénéficier de la sérénité liée à l'assurance d'avoir une excellente base au niveau du châssis, qui avait d'ailleurs déjà fait ses preuves en fin d'année dernière.

Il est vrai que faute de pouvoir travailler sur son bloc, Suzuki avait tenté de rattraper la situation en mettant les bouchées doubles sur les autres aspects de sa moto, le tout en adéquation avec la philosophie de la marque, qui est de privilégier des machines agiles.

"Je dis toujours que le plus important, c'est l'équilibre", reprend Kawauchi. "C'est l'un des bons points de notre moto. Nous avons deux objectifs : avoir une bonne accélération, ainsi qu'une bonne prise en main et un bon freinage. Le châssis n'a connu que de petites améliorations. Il est très similaire à celui de l'an passé. Mais vous pouvez tout de même noter des directions [techniques] différentes, avec un châssis en carbone."

Cette année, Suzuki peut compter sur un Andrea Iannone retrouvé – trop tard cependant pour qu'il puisse préserver son guidon l'an prochain. Et c'est donc le très jeune mais néanmoins prometteur Joan Mir qui prendra sa place au sein de l'équipe en 2019. De fait, le ticket Álex Rins-Joan Mir sera l'un des moins expérimentés, ce qui n'inquiète pas outre mesure dans les rangs nippons compte tenu du talent et du potentiel des deux hommes.

Néanmoins, le manque d'une équipe satellite pour récolter davantage d'informations s'est cruellement fait sentir l'an passé. Or, si Marc VDS a un temps semblé être une option crédible pour aligner deux GSX-RR, il n'en sera finalement rien, et il faudra attendre sans doute l'entrée dans la prochaine décennie pour voir quatre Suzuki sur la grille.

"Nous avons essayé de chercher une équipe satellite, mais malheureusement c'est difficile, il est trop tôt pour tout préparer", explique Kawauchi. "Mais bien sûr à l'avenir, en 2020 ou 2021, nous allons essayer d'avoir notre équipe satellite."

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