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En Aragón, Espargaró a voulu piloter avec l'Aprilia de 2017

À l'aise l'an dernier avec la dernière version de la RS-GP, l'Espagnol a dans un premier temps voulu recourir à celle-ci lors du Grand Prix.

Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini
Aleix Espargaro, Aprilia Racing Team Gresini, Scott Redding, Aprilia Racing Team Gresini

Aleix Espargaró aura enfin vu la lumière au bout du tunnel en Aragón. L'Espagnol a en effet obtenu sur ses terres son meilleur résultat de la saison, avec une sixième place à l'arrivée.

Pour l'anecdote, le pilote Aprilia avait déjà fini à cette même position l'an dernier dans la province de Teruel, sur un tracé qu'il semble apprécier. L'Ibère y avait d'ailleurs eu de tellement bonnes sensations en 2017 qu'il a souhaité réutiliser la précédente version de sa RS-GP durant le week-end.

Pas d'avantage en termes de performance

Une démarche confirmée par le patron d'Aprilia Racing, Romano Albesiano, au micro du site officiel du MotoGP : "Ce qui est important dans cette situation c'est d'éviter toute confusion. Nous avons donc mené un premier test [à isano] avec la 2017, Aleix a eu de bonnes sensations", a ainsi expliqué l'Italien, qui expliquait alors vouloir retenter l'expérience lors de la journée d'essais suivant le Grand Prix. "En termes de performances, il n'y avait pas d'avantage, nous ferons donc un autre test ici, lundi parce qu'il est très important alors que nous concevons la moto de 2019 de comprendre exactement les faits dans cette phase de l'une ou l'autre des motos." 

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Au final, Espargaró a bien roulé sur la moto de 2018, ce qui a plutôt bien fonctionné compte tenu de son résultat sous le drapeau à damier. Mais aurait-il pu faire encore mieux avec celle de 2017 ? Difficile à dire selon l'intéressé : "C'est difficile de savoir ce qui aurait pu arriver", souligne ainsi le numéro 41. "J'étais très rapide l'an dernier, cette année j'étais plus rapide que l'an dernier mais tout le monde était bien plus rapide. J'ai beaucoup poussé pour en avoir une [moto] de chaque, mais ça n'était pas possible, donc c'est mieux de ne pas y penser. J'insistais vraiment pour l'avoir, mais si ça n'est pas possible, il vaut mieux se concentrer sur la 2018."

Reste à savoir quelle sera la philosophie sous-jacente dans la conception de la RS-GP de 2019. Aussi, faut-il repartir de zéro au risque de faire fausse route, ou bien privilégier une optimisation de l'existant en développant la présente moto à disposition des troupes de Noale ?

Besoin d'une révolution plus que d'une évolution selon Espargaró

Le choix semble pour le moment se diriger vers la seconde option pour le constructeur italien. Une approche plutôt conservatrice qui laisse sceptique Espargaró, qui estime que de profonds changements sont requis sur sa monture pour pouvoir espérer faire une percée au classement. "L'évolution est vraiment très importante. Si vous changez le carénage, c'est certes une évolution mais cela reste la même moto. Mais si vous changez le châssis et le carénage et plein d'autres choses, ce sera aussi une révolution. Il nous faut donc une grande révolution." 

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La campagne 2018 n'est pas de tout repos pour Aprilia, et les déceptions ont été nombreuses jusqu'ici si on met de côté l'éclaircie constatée en Aragón. Malgré cela, Espargaró a bien conscience du dur labeur dont fait preuve son équipe pour essayer de rétablir la situation. "Ils travaillent dur, et moi aussi", reconnaît-il. "Mon programme est incroyablement chargé. Bien sûr personne ne veut être dans cette situation l'an prochain, donc j'espère que tout cela va changer."

Un programme de développement toujours plus intense et l'arrivée de Bradley Smith comme pilote essayeur pourrait en effet permettre à l'équipe transalpine de remonter la pente en vue de 2019. 

 

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