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Un capteur défectueux n'entame pas la confiance de Miller

Jack Miller reste très confiant après ce vendredi au Mans, malgré une chute causée en partie par un problème de capteur, qui a transformé sa machine en "moto de merde".

Jack Miller, Pramac Racing

Jack Miller, Pramac Racing

MotoGP

Parti à la faute lors de la deuxième séance d'essais libres du GP de France MotoGP, Jack Miller est parvenu à terminer dans le top 10 de cette journée de vendredi. Une place importante, puisque les dix premiers des temps combinés des trois premières séances se qualifient automatiquement pour la Q2 de samedi...

Le pilote australien est tombé dès son premier tour lancé avec un pneu medium neuf à l'avant. Une chute qui l'a un peu pris par surprise, et qui pourrait selon lui venir d'un souci de capteur, que l'équipe Pramac Ducati a déjà identifié. 

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"Nous n'avons que cinq softs à l'avant, donc nous avons juste utilisé le medium pour voir comment ça allait être. J'ai vraiment poussé dans le tour de sortie mais je n'ai pas pu mettre de la température dans le pneu. Je suis rentré dans le virage 2 pas plus vite que d'habitude, mais une fois que je suis arrivé au point de corde [la moto] m'a échappé. Ça m'a un peu pris par surprise."

"On pense qu'un capteur a arrêté de fonctionner sur la moto, et ça fait que j'ai dû me battre contre la moto pendant toute la séance", a-t-il précisé au micro de BT Sport. "Je suis rentré au stand, les gars ont réparé la moto puis on a remis le soft qui avait fait 20 tours. Je suis ressorti, j'ai eu des vibrations, des sensations bizarres avec la moto, je ne sais pas si ça venait du fait d'avoir un pneu avant très usé et un pneu arrière neuf, donc je suis revenu au stand, j'ai remis deux pneus neufs. Je n'arrivais pas à garder la moto en ligne, je loupais tous les points de corde, c'était un peu une moto de merde honnêtement."

Une mauvaise direction technique

Ces mauvaises sensations ont donc une explication logique, et le vainqueur du GP des Pays-Bas 2016 ne s'inquiète pas et sait que la situation sera réglée pour ce samedi. Il verra aussi des modifications apportées aux réglages de sa Ducati Desmosedici GP19, après avoir pris une mauvaise direction l'après-midi.

Comme attendu, Jack Miller estime que le tracé manceau se montre plus clément envers les Ducati que la piste de Jerez sur laquelle le MotoGP s'est produit il y a deux semaines. Il est en tout cas confiant quant à son rythme en course.

"C'est un circuit que j'aime, qui fonctionne bien pour la Ducati, et on l'a vu ce matin, en pneus usés j'arrivais encore à faire de bons chronos et les pneus me donnaient de bonnes sensations en fin de run. Avec des pneus vieux de 18 tours je me sentais mieux qu'au premier run !"

La qualification directe en Q2 reste l'objectif principal de Miller, qui l'assure, nous n'avons pas encore vu tout ce dont il était capable... "Nous sommes dixièmes, mais je ne veux pas que l'on rentre de justesse en Q2 comme ça, on a fait notre chrono avec 16 tours sur les pneus ce matin, il m'en reste encore beaucoup sous la pédale !"

 

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