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Crutchlow : La chaleur, "bien pire qu'à Sepang"

Troisième temps des chronos combinés à Buriram, à moins d'un dixième d'Andrea Dovizioso, Cal Crutchlow n'avait d'yeux que pour la chaleur et l'humidité de la Thaïlande !

Cal Crutchlow, Team LCR Honda

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda
Cal Crutchlow, Team LCR Honda

Ce nouveau rendez-vous au calendrier a de quoi faire peur aux pilotes du peloton MotoGP, car les conditions sont particulièrement éprouvantes en Asie du Sud-Est. Cet après-midi, lors des Essais Libres 2, la température dans l'air atteignait 30°C, celle au sol 54°C, et l'humidité était de 54%. Des conditions que Cal Crutchlow n'a pas hésité à proclamer pire qu'en Malaisie, l'autre épreuve connue pour être particulièrement difficile physiquement.

"C'est vraiment bien pire qu'à Sepang. Ici, [le problème], c'est l'humidité. Les MotoGP sont si chaudes, quand je roule [la moto] devient très chaude. L'aspect physique du pilotage en MotoGP est vraiment énorme car on freine aussi tard que possible, les motos sont très rigides, les pneus sont rigides, on ne peut pas se reposer une seule seconde."

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Le Britannique a soutenu ces déclarations avec des chiffres, lui qui a effectué le Grand Prix de Saint-Marin à Misano muni d'un capteur de fréquence cardiaque. Ce dernier a révélé des chiffres impressionnants révélant la puissance de l'effort requis pour effectuer une course au plus haut niveau du sport moto…

"Ne vous méprenez pas, j'adore piloter quand il fait chaud, j'adore piloter une moto, et on dirait qu'on se plaint tous, quelqu'un à la maison se dirait qu'on ne fait que se plaindre de piloter une moto sous le soleil ! Mais quand je pilote… j'avais un moniteur de rythme cardiaque à Misano, j'étais à une moyenne de 192 pulsations [par minute] sur 41 minutes. Donc vous pouvez imaginer qu'en faisant ça, ici c'est vraiment du gros travail. Je me dis que si c'est du gros travail pour moi, ça l'est pour tout le monde."

Outre ces considérations de type météorologique, le numéro 35 se satisfait-il de son rythme en ce début de week-end thaïlandais ? Plutôt, mais les sensations ne semblent pas encore être tout à fait au rendez-vous…

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"Mon rythme a l'air bon, mais je ne me sens pas super bien avec la moto, honnêtement. J'ai essayé deux motos différentes, l'une que j'ai essayée en début d'année ici, et puis ensuite la dernière version utilisée en course, et j'ai préféré celle-là, donc c'est assez bon. C'est positif de se dire qu'on va dans la bonne direction."

"Si vous regardez la liste des pneus utilisés, tous les constructeurs ont partagé leur travail. Un pilote était avec un type de pneus, l'autre avec un autre type ; ce matin j'ai piloté avec des pneus différents de Dani et Marc, pour qu'on ait les informations. Le pneu avant s'use beaucoup plus que lors des tests, ça prouve que le grip n'est pas là pour le moment."

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