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Ducati déjà au pied du mur au terme de la première journée

Les deux Desmosedici officielles ne sont pour l'instant pas en capacité de se qualifier pour la seconde partie des qualifications, et sont déjà condamnées à l'exploit lors des EL3.

Andrea Dovizioso, Ducati Team

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Andrea Dovizioso, Ducati Team
Andrea Dovizioso, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Andrea Dovizioso, Ducati Team
Andrea Dovizioso, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Jorge Lorenzo, Ducati Team
Andrea Dovizioso, Ducati Team

Les débuts de Ducati sur ce Grand Prix d'Argentine ne resteront sans doute pas dans les mémoires de l'équipe italienne, qui va sans doute vouloir tourner la page après une première journée à oublier.

Car avec Andrea Dovizioso 15e et Jorge Lorenzo 16e, les Rouges sont en bien mauvaise posture pour viser une qualification directe en Q2. Les difficultés des Desmosedici sont pour l'heure nombreuses, allant du manque d'adhérence sur une piste au grip certes très aléatoire à un manque de stabilité en raison du vent qui a sévi jusqu'ici sur le circuit de Termas de Río Hondo.

Mais du propre aveu d'Andrea Dovizioso, qui a terminé les EL2 à la position bien peu flatteuse de lanterne rouge, la faute est également à aller chercher de son côté. "Je n'ai pas piloté la moto de la meilleure des manières", analyse le vainqueur du Grand Prix du Qatar. "Bien sûr notre moto n'est pas la meilleure pour cette piste et ces conditions, mais quelques pilotes ont été plus rapides que moi. Cela signifie que je n'ai pas piloté à mon maximum."

Paradoxalement, Ducati n'est jamais parvenu à tirer son épingle du jeu sur un circuit qui pourtant favorise la vitesse et la puissance moteur. Ainsi, seul un podium, œuvre de Dovizioso justement en 2015 – une deuxième place – est à mettre au crédit de la marque de Bologne en terre argentine jusqu'ici.

Les sensations pas au rendez-vous

Mais les sensations n'étaient pas au rendez-vous ce vendredi, comme le confirme le premier leader du championnat. "Plusieurs choses se sont combinées aujourd'hui, et je n'ai pas eu le feeling habituel pour attaquer et faire un bon temps au tour", explique-t-il, un an après son unique abandon de la saison 2017, survenu sur le circuit de Termas de Río Hondo. "Ce n'est pas une excuse, c'est la réalité et nous devons continuer de travailler comme par le passé où nous avions fait deuxièmes [en 2015]."

Si Dovizioso se plaint de ne pas être suffisamment en confiance au guidon de sa GP18 en Argentine, que dire de son voisin de garage, Jorge Lorenzo ? Le langage corporel de l'Espagnol a parlé de lui-même lors des différentes séances : la Ducati n'est pas au mieux sur le tracé sud-américain, et il n'y a qu'à écouter les dires du numéro 99 pour s'en convaincre. "Je pense que les conditions aujourd'hui, et en particulier le vent… multiplient un peu les faiblesses de la nouvelle moto", a-t-il observé en fin de journée. "La roue avant est un peu moins en contact avec le sol. Donc, par exemple, dans le virage rapide avant la ligne droite je perds juste une demi-seconde parce que je ne peux pas ouvrir à fond les gaz, car je ne me sens pas suffisamment en sécurité pour le faire. Et sur le reste de la piste je ne me sens pas plus en sécurité."

Et ce ne sont pas les différentes gommes mises à disposition des pilotes qui semblent pouvoir améliorer la situation, le faible niveau de grip proposé par la piste argentine rendant caduques les différentes options pneumatiques présentes ce week-end. "Quand vous avez ce niveau d'adhérence, aucun pneu ne vous procure de grip", reprend Dovizioso. "Il n'y a presque aucune différence et nous n'avons pas pu faire de réelles comparaisons, faire beaucoup de tours pour comprendre les pneus. Chaque fois que vous mettez un nouveau pneu, la différence se fait simplement au moment de les faire chauffer. L'un est meilleur que l'autre [sur ce point], mais ce n'est pas le sujet, nous ne pouvons pas trouver le moyen d'être plus rapides."

Il faudra pourtant bien trouver des solutions dès les EL3, si les Ducati officielles ne veulent pas subir l'affront d'un passage en Q1 lors des qualifications.

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