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L'objectif de Guintoli : aider les ingénieurs tout en se faisant plaisir

Le Français dispute sa deuxième wild-card de la saison MotoGP, une étape importante dans le programme de développement de Suzuki, dont il est un acteur décisif.

Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Michael van der Mark, Pata Yamaha, Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP
Sylvain Guintoli, Team Suzuki MotoGP

Après sa participation au GP de Catalogne, revoici Sylvain Guintoli pour sa deuxième wild-card de la saison en MotoGP. Et c'est un Guintoli affûté et motivé qui a fait son arrivée dans le paddock de Brno, pas impressionné le moins du monde par la chaleur qui y règne, lui qui vient de passer une longue période au Japon où le thermomètre grimpait encore plus.

"L'année a commencé calmement, avec quelques tests ici ou là, et maintenant la saison bat son plein", observe-t-il. "Je reviens tout juste de quatre semaines au Japon, où j'ai fait beaucoup de tests pour les 8H de Suzuka et des tests MotoGP, puis j'ai retrouvé la moto de Suzuka pour la course. Je reviens tout juste du Japon et je suis ici pour la wild-card. C'est génial !"

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"Je suis ravi de revenir sur la MotoGP, pour de nombreuses raisons. L'une d'elles est que, sur les derniers tests, nous avons reçu quelques mises à jour avec lesquelles je vais rouler ici. Comme on l'a fait à Barcelone, on va mettre des nouveautés à l'épreuve, car le véritable test c'est la course", concède le Français, présent en sa qualité de pilote d'essais Suzuki.

"Je ne peux pas donner beaucoup de détails, mais beaucoup des pièces que nous avons testées à Motegi ont été très positives, alors je crois que je vais utiliser la plupart d'entre-elles", pressent-il, évoquant à demi-mots des nouveautés à la fois sur le châssis et l'électronique, sans toutefois pouvoir lever le voile sur le secret du développement de la GSX-RR. "Désormais, on y est presque avec la moto et on recherche un [petit] gain partout, ce qui peut faire une différence majeure dans le contexte actuel du MotoGP. On n'a pas trouvé une demi-seconde – ça n'est le cas de personne –, mais je crois qu'on a trouvé des évolutions positives."

Bien conscient qu'il ne vient pas jouer la pole ou la victoire, Guintoli a tout de même ses propres objectifs à atteindre, sachant pertinemment qu'il lui faut être performant pour apporter une contribution solide à la marque. "Mon objectif est de trouver un bon rythme, de faire – je l'espère – une course solide, d'obtenir assez de données et d'être suffisamment rapide pour que les ingénieurs Suzuki puissent extraire les informations qu'ils veulent, et puis je veux prendre du plaisir parce que c'est une super piste et une super moto", annonce le numéro 50, heureux de retrouver Brno, où il n'a plus couru depuis 2011 en Superbike et 2008 en MotoGP.

Les meilleures conditions pour des tests

Cette deuxième wild-card de la saison – sur trois prévues – s'inscrit dans un programme qui vise à la fois à évaluer de nouvelles pièces dans un contexte de compétition, qui met la machine et les hommes plus à l'épreuve, et aussi à permettre au pilote de garder ses automatismes pour être le plus performant possible et ainsi mener sa moto à un niveau où il fait sens d'évaluer sa compétitivité.

"On ne le fait pas juste parce que je suis heureux de le faire, on le fait parce que ça fonctionne", précise Sylvain Guintoli, qui a su gagner la confiance de Suzuki. "Ça a commencé l'année dernière, quand je suis monté sur la moto la première fois. À l'époque, c'était pour remplacer Álex [Rins], mais quand ça s'est produit j'ai donné à Suzuki des informations qui ont été très utiles pour la fin de saison et [indiqué] certaines directions qu'ils ont suivies."

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"Je suis un peu comme l'homme de l'ombre du programme. J'ai tout le soutien de Suzuki en ce qui concerne l'évaluation de toutes les nouveautés et jusqu'à présent tout ce qu'on a fait ensemble a été un succès. La moto est de retour et la manière dont on travaille ensemble […] fonctionne", se félicite le pilote. "La course est la meilleure plateforme de test qui soit, et ça n'est pas un luxe pour les deux pilotes officiels, parce que quand vous courez à temps plein dans un championnat il est très difficile d'avoir suffisamment de temps ou de [pouvoir] suffisamment se concentrer pour cela. Je crois donc que, pour Suzuki, avoir un test team est un très gros avantage afin d'évaluer [les nouveautés] et de vraiment se concentrer là-dessus."

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