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Jack Miller s'est senti "au purgatoire" en fin de course

Jack Miller, qui a eu l'impression de "tomber d'une falaise" quand son pneu arrière s'est mis à le gêner, assure que le problème rencontré au Grand Prix du Qatar est ponctuel.

Jack Miller, Ducati Team

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Jack Miller a fait partie des pilotes qui se sont sentis brutalement limités par la performance de leurs pneus durant la dernière partie de la course disputée dimanche à Losail. Alors que certains parvenaient à maintenir une bonne constance dans leurs temps, d'autres pilotes présents aux avant-postes en début d'épreuve ont peu à peu rétrogradé.

Sans admettre de réelle dégradation pneumatique, le responsable de Michelin a rappelé à quel point la combinaison entre les réglages et le pilotage avait pu peser dans cette course alors que les conditions étaient délicates, avec des températures plus fraîches et du vent venus s'ajouter à une configuration de piste déjà complexe.

Pour le pilote Ducati, le problème rencontré durant cette première épreuve est un accroc ponctuel et tout laisse à penser qu'il pourra être évité pour le second Grand Prix prévu sur place, cette semaine. "Nous avons réussi à identifier le problème", assure l'Australien, qui décrit "une vibration étrange" dans son pneu arrière l'ayant fait se sentir… "au purgatoire".

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"J'ai souffert d'une vibration étrange à l'arrière, ce qui m'empêchait d'emmener la vitesse que je voulais dans les virages, et au final, je n'arrivais pas à rouler comme je l'aurais voulu", explique-t-il, alors qu'il avait précisément tenté d'éviter une première partie de course trop rapide. "J'ai essayé l'autre stratégie [partir plus lentement, ndlr]. Ça s'est parfaitement bien passé jusqu'à ce que je commence à pousser à 11 ou 12 tours de la fin, et à huit tours de l'arrivée je suis comme tombé d'une falaise. On connaît la situation. Je pense que mon plan et ma stratégie étaient les bons, alors je dois juste y retourner, remettre les compteurs à zéro et repartir."

"C'était juste lié aux pneus, quelque chose de ponctuel", précise Jack Miller. "Ça a commencé un peu plus tôt, mais j'ai vraiment commencé à avoir des problèmes à environ huit tours de l'arrivée. J'avais l'impression d'être au purgatoire, je ne pouvais ni avancer, ni reculer, j'étais juste coincé là à faire toujours les mêmes temps."

Pas d'obligation de gagner

Alors que le Grand Prix de Doha de cette semaine lui offre une opportunité de se refaire, le pilote australien ne l'aborde pas avec le sentiment de devoir à tout prix gagner. Losail est pourtant une piste traditionnellement très favorable aux Ducati, et les deux dernières victoires y avaient été décrochées par la marque, avec Andrea Dovizioso.

Dimanche, les Desmosedici ont moins pu profiter de leur vitesse de pointe − le vent de face dans la ligne droite ne les y aidaient pas − et c'est la Yamaha de Maverick Viñales qui est finalement apparue au-dessus du lot. Tandis que Miller chutait à la neuvième place, deux Ducati ont tout de même pu monter sur le podium, celle de Johann Zarco et celle du premier leader de la course, Pecco Bagnaia.

"Je pense que l'objectif est le même chaque week-end", souligne le pilote australien, qui assure "rester positif" et vouloir faire le maximum pour "éviter autant que possible que ça se reproduise".

"Le week-end dernier, on a joué de malchance, mais on connaît les problèmes, on sait ce qui s'est passé, et on peut améliorer cela et faire mieux ce week-end. Il n'y a pas d'obligation de gagner, on est encore très tôt dans le championnat. Mais il est certain que l'on va faire le maximum pour arriver aussi près que possible de la première place, si ce n'est à la première place."

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