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Jack Miller plus à l'aise que jamais avec sa Ducati

Passé de Honda à Ducati, l'Australien fait partie des révélations de cette intersaison, semblant se révéler au guidon de la Desmosedici.

Jack Miller, Pramac Racing

Photo de: Pramac Racing

Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing

Jack Miller a pu dresser un bilan très positif de son deuxième test de l'année au guidon de la Ducati, une moto dont il avait tout à apprendre lorsqu'il l'a prise en main en novembre. Et pour cause : septième le premier jour, il a fait son entrée dans le top 3 le lendemain avant de se maintenir à une très bonne sixième place le troisième jour, le tout avec d'excellentes sensations. "Chaque fois que je monte sur la moto, je suis de plus en plus à l'aise, j'ai plus confiance en moi-même et en elle", se félicite-t-il, lui qui vient de trois ans passés au guidon d'une Honda satellite.

Est-ce que cette expérience avec une RC213V réputée pour être une moto difficile l'aide désormais à prendre en main la Ducati ? "C'est dur à dire. Il est clair que j'ai beaucoup appris à gérer le wheelie ces trois dernières années, surtout avec la Honda parce que c'était son point clé. C'est ce que Marc [Márquez] fait si bien, ainsi que Dani [Pedrosa]", constate-t-il. "Je sens que cela m'aide sur cette nouvelle moto. C'est dur à dire. Marc a remporté [des titres] sur cette moto, ça n'est pas une mauvaise machine, mais moi je n'arrivais pas vraiment à ce que ça fonctionne, je ne peux pas dire grand-chose de plus."

Sans même attendre d'en avoir fini avec les essais thaïlandais, l'Australien ne cachait pas son enthousiasme face à une Ducati qui lui procure de bien meilleures sensations que la moto dont il disposait par le passé. "Ces quatre dernières années, je ne crois pas avoir jamais été aussi à l'aise et avoir pu faire ce dont je suis capable. Je n'ai pas été aussi heureux ni eu autant confiance dans mon pilotage depuis que l'époque où j'étais en Moto3. Je sens que cette moto réagit vraiment comme j'aime et j'arrive à suivre", se réjouissait-il à Buriram.

Je n'ai pas été aussi heureux ni eu autant confiance dans mon pilotage depuis que l'époque où j'étais en Moto3.

Jack Miller

À l'instar d'un Tito Rabat, qui semble revivre au guidon de la Ducati du team Avintia, Miller ne fait pas de quartier avec la GP17 que lui confie l'équipe Pramac et son adaptation paraît avoir été bien plus rapide qu'il ne pouvait le craindre.

"Je suis très, très heureux des performances de la moto, très heureux de ma performance et aussi de celle de l'équipe. On travaille de mieux en mieux chaque jour, et je trouve que mes commentaires sont compris vraiment très vite et qu'on arrive à changer la moto très rapidement, rien qu'en passant du temps avec mon chef mécanicien", s'enthousiasme-t-il.

"J'ai le sentiment que nos réglages sont de plus en plus prêts pour la course, parce qu'on les change de moins en moins chaque fois que je monte sur la moto. Pour moi, c'est une très bonne chose, parce qu'on n'a pas beaucoup de temps pendant un week-end de course pour régler la moto."

Encore un peu d'expérience à prendre

Après ce qui avait déjà été un test très solide à Sepang, où il s'était classé cinquième sur l'ensemble des trois jours, Jack Miller s'est cette montré le pilote Ducati le plus rapide du plateau en Thaïlande, avec le sixième chrono. Une séance durant laquelle il s'est efforcé de passer en revue les différents pneus proposés afin de se faire une idée de ce qui fonctionne pour lui ou non et de préparer d'ores et déjà le Grand Prix qui sera disputé sur place à l'automne. Il a par ailleurs travaillé sur ses réglages, cherchant à peaufiner sa copie à chaque sortie, avec efficacité.

Seul point noir, une chute au début de sa première tentative de long run, le dernier jour. "C'était juste une petite erreur, qu'il faut qu'on règle", pointe-t-il, assumant la responsabilité d'une erreur personnelle qui s'est ajoutée à des mauvais réglages. "On a fait une petite faute ici et une petite erreur en Malaisie, au début de la deuxième matinée. Ce serait bien qu'on s'arrête là, avant que la saison démarre, c'est certain."

Lui manque-t-il quelque chose à ce jour sur la Ducati ? "Pas vraiment", note-t-il. "J'ai juste le sentiment d'avoir une très bonne moto. Je crois que j'ai juste besoin de plus d'expérience avec cette moto et que cela peut nous aider à progresser dans tous les domaines. Comme on l'a vu l'année dernière, notre moto est très compétitive. C'est une solide moto, il faut juste être mûr quand on la pilote et ça ira pour les courses, je pense."

Dans ce contexte très encourageant, quelles peuvent être ses ambitions en termes de performances et de résultats ? "Il est trop tôt, je ne veux rien dire pour le moment", temporise celui qui a remporté une course dès sa deuxième année en MotoGP. "On a eu de bons essais à Valence, j'ai eu un peu plus de mal à Jerez, mais Sepang et ici [Buriram] ont été de très bons tests. C'est donc difficile à dire pour le moment, mais j'ai hâte d'être au Qatar et de voir comment la moto se comporte là-bas, avec plus de virages et notamment plus fluides."

"Le problème qu'on a avec cette moto concerne un peu sa capacité à tourner, il sera donc intéressant de voir comment ça se passe au Qatar, mais comme a pu le voir par le passé, la Ducati est normalement une moto compétitive au Qatar. J'ai donc hâte d'aller là-bas, ainsi qu'en Argentine et au Texas."

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