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Craignant une "mauvaise chute", Zarco est resté prudent vendredi

Johan Zarco s'est montré prudent vendredi à Valence, de peur de partir à la faute sur une piste humide. Le Français pense toutefois qu'un bon résultat est dans ses cordes alors que la course s'annonce sèche.

Johann Zarco, Avintia Racing

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Johann Zarco dresse un bilan mitigé de a sa première journée au Grand Prix d'Europe. Auteur d'un quatrième temps encourageant sur une piste mouillée dans la matinée, le Français ne s'est classé qu'au 17e rang en EL2 alors que les conditions étaient bien meilleures, mais encore partiellement, ce qui le place hors du top 10 au cumul des deux séances. Le pilote Avintia dit avoir eu du mal à trouver de bonnes sensations en raison du manque d'adhérence.

"C’était une journée difficile", résume-t-il. "Dans l’après-midi, c’était assez difficile pour moi. Dans la matinée, sous la pluie, ça allait, mais je n'avais pas de très bonnes sensations. Ça peut être positif parce que si les sensations s’améliorent, je peux être performant, jouer le podium et la victoire, j'espère, mais on a besoin de meilleures sensations avec les pneus. La piste est étrange, elle est encore très glissante mais à certains endroits on a du grip, et à d’autres pas trop, donc je suis un peu perturbé."

Une trajectoire sèche s'est dessinée dans l'après-midi, permettant à tous les pilotes d'améliorer leurs temps, mais craignant une chute, Zarco a préféré éviter toute prise de risques : "Sur le sec, [dans] l'après-midi, il y avait beaucoup, beaucoup de flaques sur la piste et j’ai vraiment essayé de progresser étape par étape. Ce n’était pas mauvais au début, mais à la fin, j’avais vraiment trop peur de rouler sur des flaques et de chuter. Quand on a peur de tomber, c’est vraiment dur d’aller plus vite."

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Zarco reconnaît qu'il n'a pas osé prendre les risques nécessaires pour entrer dans le top 10. "Dans les conditions délicates, comme j’estime être toujours un peu dans cette phase d’apprentissage [avec la Ducati], plus je peux pousser mes repères, mieux je prends confiance", analyse-t-il. "Mais là, le moindre petit écart de trajectoire, tu peux le payer cher. Cette crainte de le payer cher par une mauvaise chute fait que tu ne peux vraiment pas être dans le coup. Et pourtant c’est 1"2 [de retard sur le meilleur temps, ndlr], donc ce n’est pas énorme. Il faut rester tranquille. J’étais un peu agacé de ne pas réussir à passer ce cap en fin d'après-midi, mais il vaut mieux galérer maintenant que l’an prochain."

La piste se présente à nouveau humide ce samedi matin, rendant une qualification directe en Q2 probablement impossible durant les EL3. Johann Zarco craint d'avoir laissé filer une opportunité puisqu'il reste convaincu qu'un bon chrono est à sa portée sur piste sèche.

"Je suis déçu [...] parce que c’était peut-être la seule séance sur piste sèche, donc c’était important d’être dans le top 10,  On verra [ce samedi], que ce soit sec ou mouillé. Si c’est sec, j’espère progresser, j’espère que ce sera presque totalement sec, plus que [vendredi] après-midi, et si c’est le cas, c’est sûr que de gros progrès seront possibles pour moi, j’aurai mes chances. S’il pleut, je vais encore chercher les bonnes sensations, mais il faudra s’adapter aux conditions."

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