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Miller inquiet de la possible destruction de son pneu en course

L'Australien a mis un terme à une longue période de vaches maigres, en entrant dans le top du Grand Prix d'Aragón, alors qu'il n'avait réussi à inscrire que six points durant l'été. Néanmoins, une certaine appréhension l'a accompagné toute la course.

Jack Miller, Pramac Racing

Jack Miller, Pramac Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Jack Miller, Pramac Racing
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Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing, Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing
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Jack Miller, Pramac Racing

Plus de deux mois. C'était le délai passé par Jack Miller sans pouvoir entrer dans le top 10, depuis le Grand Prix des Pays-Bas disputé sur le circuit d'Assen début juillet. Un manque de résultat qui avait fini par user mentalement l'Australien, auteur d'un premier tiers de saison de haute volée, et qui a semble-t-il rencontré des difficultés à prendre le rythme du groupe de tête.

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Il y avait bien eu pendant ce laps de temps quelques coups d'éclat, comme ce tour en pneus slicks sur le mouillé lors des qualifications à Silverstone, ou bien encore cette deuxième place sur la grille de Misano, il y a deux semaines. Mais dans les deux cas, le numéro 43 n'avait pas eu la possibilité de convertir ces bonnes dispositions en course, soit du fait de l'annulation de celle-ci (le Grand Prix de Grande-Bretagne), soit d'une erreur (le Grand Prix de Saint-Marin).

Cette fois-ci, en Aragón, le week-end fut certes moins flamboyant pour le pilote Pramac (hormis lorsqu'il a joué les bons samaritains en aidant un Maverick Viñales en panne mécanique à regagner son garage à l'issue des EL1), mais bien plus régulier et efficace. Dixième en qualifications, il a en effet réussi à rallier l'arrivée à la neuvième place.

Du temps perdu au départ

Ce résultat aurait d'ailleurs pu être bien meilleur s'il n'avait pas perdu du temps lors du tout premier virage, en devant écarter sa trajectoire pour éviter un Jorge Lorenzo en perdition. "Le départ que j'ai pris, c'était bien, mais avec Jorge par terre je me suis retrouvé à l'extérieur", a-t-il confié après coup.

Une situation mal embarquée qui n'a pas empêché l'Aussie de repartir de l'avant pour tenter d'accrocher le bon wagon en course. Avec une certaine réussite puisqu'il est parvenu à franchir la ligne d'arrivée avec seulement deux secondes de débours sur son coéquipier Danilo Petrucci, pourtant muni d'une GP18.

Cette attaque, l'Australien l'a cependant payée en fin de course, ces pneus abîmés l'ayant empêché de viser encore plus haut dans la hiérarchie. "Je me suis retrouvé sans pneus en fin de course, j'ai trop endommagé le flanc gauche", décrit Miller. "C'est vraiment dommage, car je me rapprochais vraiment de Petrucci, mais ensuite j'ai senti de grandes vibrations, et pour être honnête j'ai pensé que le pneu allait éclater. J'étais un peu nerveux. Mais j'ai finalement réussi à baisser de rythme, et finir dans le top 10 pour ramener des points. Ça fait du bien."

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Le pilote Pramac explique toutefois qu'avant même cette vibration c'est un voyant qui l'a maintenu sur le qui-vive. "J'ai roulé en gardant un œil là-dessus parce que, pendant toute la course, dès le premier tour, le voyant des pneus s'est allumé sur mon tableau de bord pour m'alerter de l'usure pneumatique. Je savais que ça n'était pas correct, parce qu'on était très tôt dans la course, mais je savais que ça arrivait et je comptais les tours en attendant un drame. Voir un voyant à chaque virage fait qu'il est difficile de garder son calme, c'est certain", explique-t-il dans sa chronique pour Red Bull.

C'est, d'après Miller, cette inquiétude permanente qui explique qu'il ait été repris par Valentino Rossi, qui l'a dépossédé de la huitième place à deux tours de l'arrivée. "Quand cette vibration est arrivée, dans le 17e tour je crois, j'ai immédiatement baissé mon rythme d'une demi-seconde ou plus, pour tourner en 1'50, ce qui m'a exposé au retour de Valentino, et il m'a passé à moins de deux tours de l'arrivée."

"C'est assez effrayant quand vous ressentez des vibrations en ligne droite et que vous êtes convaincu que le pneu part en morceaux alors que vous allez à 320 km/h… Quand je suis descendu de la moto, le pneu avait l'air bien de ce point de vue-là, aucun morceau n'était parti, par contre il était détruit. Peut-être que la vibration est venue de la boîte de vitesses, on n'en sera pas certains tant qu'on n'aura pas étudié cela d'un peu plus près."

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