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Miller a payé cher son choix du pneu médium en course

L'Australien, pointé à une brillante cinquième place en qualifications, a vu sa course gâchée par un choix de pneu arrière peu pertinent le dimanche.

Jack Miller, Pramac Racing

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Alvaro Bautista, Angel Nieto Team, Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Alvaro Bautista, Angel Nieto Team, Jack Miller, Pramac Racing

Jack Miller semble avoir pris un abonnement à la huitième place en Malaisie ! Pour la troisième édition d'affilée, l'Australien termine en effet à cette position sur le circuit de Sepang. De quoi lui rapporter de bons points en cette fin de saison 2018, même si une petite pointe d'amertume était perceptible à l'issue de la course.

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Le samedi tout allait bien pourtant, le numéro 43 qui s'était emparé de la sixième place lors des qualifications, qui allait bientôt se muer en cinquième après la pénalité de six places sur la grille infligée à Marc Márquez. "J'ai eu de bonnes sensations durant tout le week-end", a-t-il expliqué. "J'étais en haut du classement et j'ai pu passer en Q2 lors de la troisième séance d'essais libres, donc je savais que nous avions un rythme correct."

Pari perdant pour Miller

Le pilote Pramac a par la suite pris un pari osé en chaussant le pneu médium à l'arrière (il fut d'ailleurs le seul pilote sur la grille à tenter ce coup de poker). Mais cette outrecuidance a finalement été la source de nombreux problèmes en course. "J'ai vu que toute la grille était en soft alors je me suis dit que j'allais tenter quelque chose d'un peu différent", a-t-il ainsi souligné dans la foulée de l'épreuve. "Ce n'était pas une bonne idée, mais on a essayé quelque chose de différent. Petrucci par exemple, avec le soft, il était derrière nous, donc c'était mauvais, mais ça aurait pu être pire."

"J'ai eu trop de patinage en essayant de rester avec les gars au début et puis j'ai eu des vibrations étranges, j'ai dû freiner très tard aussi. La pression du pneu avant est montée trop vite, et elle était trop haute. J'ai eu un moment très chaud, j'ai un gros trou dans mon cuir car j'ai récupéré la moto je ne sais trop comment dans le dernier virage."

À l'arrivée, Miller était donc partagé entre la satisfaction d'inscrire de nouveaux points précieux au championnat et le constat de l'écart important qui le séparait de la tête de course.

"Cela fait maintenant trois ans de suite que je termine à la huitième place, donc difficile de trouver des motifs de satisfaction", a-t-il concédé. "En 2016 et 2017, j'étais à plus d'une trentaine de secondes du vainqueur. Cette fois-ci, c'était 19 secondes. Donc il y a du progrès d'une certaine manière, mais c'est dur de ne pas être un peu déçu après avoir terminé à moins de sept secondes du premier à Phillip Island."

Reste à voir si l'Australien parviendra à finir plus proche des leaders lors de l'ultime manche du championnat, à Valence.

Avec Michaël Duforest

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