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Miller : "Mon objectif : un guidon dans une équipe d'usine"

Le pilote Pramac fait sensation en ce début de saison, mais va devoir entretenir cette bonne dynamique tout au long de la campagne 2019 s'il souhaite voir son vœu exaucé.

Jack Miller, Pramac Racing

Photo de: Gold and Goose / Motorsport Images

Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Podium : le deuxième Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing, le vainqueur Alex Rins, Team Suzuki MotoGP, le troisième Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Jack Miller, Pramac Racing, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP
Jack Miller, Pramac Racing
Podium : Jack Miller, Pramac Racing
Marc Marquez, Repsol Honda Team, Valentino Rossi, Yamaha Factory Racing, Alex Rins, Team Suzuki MotoGP, Jack Miller, Pramac Racing
Podium : Jack Miller, Pramac Racing

La saison n'en est bien sûr encore qu'à ses balbutiements, mais la course de fond que se livrent les différents pilotes Ducati (comprenez Danilo Petrucci, qui ne dispose que d'un contrat d'un an avec l'équipe officielle, et les deux pensionnaires de chez Pramac) fait déjà rage.

L'objectif : le guidon de la seconde Desmosedici officielle à compter de l'an prochain. Si Pecco Bagnaia semble pour le moment encore un peu tendre pour prétendre à une telle "récompense" en fin d'année, son coéquipier Jack Miller a quant à lui d'ores et déjà marqué des points lors des trois premières manches de la campagne 2019.

La GP19, catalyseur de performance pour Miller

L'Australien a véritablement passé un cap cette année sur la GP19, avec un premier podium en MotoGP décroché à Austin, son deuxième dans la catégorie reine après sa victoire sous le déluge d'Assen en 2016. Un top 3 qui fait suite à une belle quatrième place déjà obtenue en Argentine, alors que sans un incongru problème de selle un pareil résultat aurait également été envisageable lors de la manche inaugurale au Qatar.

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En préambule du Grand Prix des Amériques, le numéro 43 ne cachait pas que le fait de disposer de la dernière version de la machine usinée à Borgo Panigale était une aide inestimable dans l'expression de son plein potentiel en piste. "[Avec la GP19] je sais que quand je déboule dans la ligne droite, je ne vais pas perdre plusieurs mètres et que je ne vais pas devoir freiner comme un idiot et massacrer le pneu avant ensuite, donc ça aide", avait-il ainsi déclaré. "Je pense que nous avons un très bon rythme. Je sens que j'ai mûri en tant que pilote, lors des essais libres et tous les trucs dans le genre sur lesquels nous travaillons beaucoup, ainsi que les essais pour les simulations de course. Nous devons juste garder cet état d'esprit et continuer de travailler."

La puissance du moteur Ducati est bien sûr un avantage pour l'Australien, mais c'est bien dans tous les domaines que des gains sont perceptibles pour celui qui est passé d'une GP17 à une GP19 sans connaître d'étape intermédiaire entre les deux. "Le moteur est beaucoup mieux", poursuit-il ainsi. "Pour le reste ce sont plein de choses différentes. C'est mieux au niveau des pneus, la moto est plus jeune de deux ans, tout fonctionne très bien mais la plus grande avancée, c'est définitivement le moteur." 

Petrucci peine à s'illustrer

Alors que Miller fait les gros titres en ce début de saison, Petrucci se montre pendant ce temps beaucoup plus discret. Abonné à la sixième place depuis le début de l'année, celui-ci n'affiche en effet qu'un seul point d'avance sur son rival de l'équipe Pramac, alors qu'il est pourtant censé disposer des toutes dernières évolutions en avant-première sur sa machine.

Si les hauts responsables de Ducati ne sont pas encore prononcés sur l'identité du futur second pilote de l'équipe officielle, la tendance est pour l'instant en faveur de Miller, qui a admis faire de ce second guidon son objectif cette saison.

"Bien sûr, mon objectif est d'obtenir un guidon dans une équipe d'usine, et j'adorerais que ce soit avec Ducati", a-t-il affirmé. "Je pense que nous faisons du bon travail cette année jusqu'ici, en qualifications ou en course, vu qu'on finit devant eux. C'est un bon début de saison, mais il faut voir car ces dernières années j'ai toujours démarré fort avant de commencer à baisser pavillon à partir du Mugello. Alors espérons que cette année nous allons pouvoir entretenir cette bonne dynamique." 

Il est vrai que l'an passé, l'Australien avait déjà réalisé une entame de championnat tonitruante, marquée par une pole position en Argentine et une quatrième place en France, avant de connaître un coup de moins bien à partir du GP d'Italie. À voir donc s'il est parvenu à gagner en régularité cette année.

 

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