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Miller : Petrucci mérite la Ducati factory plus que moi

Conscient qu'il doit encore faire ses preuves chez Pramac en dépit de très bons résultats, l'Australien estime que la décision de Ducati de recruter Petrucci est tout à fait légitime.

Jack Miller, Pramac Racing

Jack Miller, Pramac Racing

Gold and Goose / Motorsport Images

Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing
Jack Miller, Pramac Racing, au freinage

Parfois, il ne faut pas se fier aux apparences. Car à voir l'issue des deux dernières courses de Jack Miller, qui se sont toutes deux soldées par un abandon, on pourrait facilement penser que l'Australien vit une première saison galère chez Pramac.

Dans les faits, il n'en est rien. Le numéro 43 présente même après sept manches un bilan comptable plus qu'honorable, et pointe en dixième position du championnat avec 49 points. Celui-ci ne disposait même que de cinq unités de débours sur son coéquipier Danilo Petrucci, pourtant muni d'une GP18 (là où lui doit évoluer sur une GP17), et figurait même devant l'Italien avant le Grand Prix de France !

Partie remise avec Ducati

Malgré cela, Miller considère que l'équipe Ducati officielle a pris la bonne décision en choisissant le Transalpin pour remplacer Jorge Lorenzo l'an prochain. Humble, il estime ainsi avoir encore beaucoup à apprendre pour pouvoir prétendre et être légitime à un tel poste.

"Je pense que c'est une bonne décision, Danilo a réalisé plusieurs années solides avec Ducati", admet-il sans ambages au micro du site officiel du MotoGP. "Il a fait un travail remarquable ces deux dernières années, et il mérite cette moto plus que moi. À présent je vais être dans la même situation que lui, mais avec moins de pression."

Alors que Petrucci va donc prendre la direction de l'équipe d'usine en 2019 Miller, dont la prolongation chez Pramac a été annoncée en marge du Grand Prix de Catalogne, entend bien mettre à profit le reste de la saison pour continuer sa bonne acclimatation à sa nouvelle équipe.

"C’est une grosse saison pour moi, car c'est le premier changement [d'équipe] que j'ai en MotoGP", explique celui qui n'avait, avant 2018, évolué que sur des Honda depuis ses débuts dans la catégorie reine. "Je dois donc me donner à 110%. Je suis très content que cela se passe si bien, tant avec la Ducati qu'avec mon équipe."

La Ducati, révélateur de performance chez Miller

La bonne entente entre l'homme et son pilote a été perceptible dès les premiers essais hivernaux, durant lesquels l'Australien a enfin pu prouver l'étendue de son talent, après avoir été bridé sur une Honda qui convenait bien peu à son pilotage.

"La moto est très forte, très stable au freinage, et il y a aussi une bonne connexion entre les gaz et l'arrière de la moto, de bonnes sensations", poursuit-il. "La moto est en ce sens très prévisible, et je suis capable de prédire ce qu'elle va faire 99,9% du temps."

Preuve de cette aisance, sa pole en Argentine, obtenue dans des conditions de piste mixtes, mais aussi la course au Mans mi-mai, la plus aboutie de sa carrière selon ses dires. Autant de prestations de bon aloi pour l'an prochain, où il se verra confier une GP19.

"Cette saison, cela va de mieux en mieux", sourit-il. "J'aurais bien sûr aimé avoir déjà fini sur le podium, mais nous nous en rapprochons peu à peu. Le fait de rouler avec le groupe de tête, cela nous met déjà dans le bain pour la saison prochaine, où on aura la moto de dernière génération."

Néanmoins, il serait faux de croire que l'Aussie souhaite se contenter de faits d'armes au gré des circonstances de course. "Nous ne cherchons pas à faire de coups d'éclat, nous cherchons à faire un travail solide", assure-t-il. Le retour à Assen, sur les terres de sa seule victoire en MotoGP il y a deux ans, pourrait lui fournir l'opportunité de viser un podium. Et pourquoi pas plus si affinité ?

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