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Mir ne s'estime pas pénalisé par ses résultats pour décrocher un guidon

En difficulté avec la GSX-RR depuis le début de la saison, Joan Mir ne pense pas en être particulièrement pénalisé pour trouver un nouveau guidon pour 2023.

Joan Mir, Team Suzuki MotoGP

Joan Mir, Team Suzuki MotoGP

Gold and Goose / Motorsport Images

Malgré l'annonce du départ de Suzuki en fin de saison, Joan Mir ne se laisse pas déconcentrer et souhaite retrouver le juste feeling avec la GSX-RR afin de retrouver le chemin de la victoire. Capable de limiter la casse depuis le début de la saison, il reste cantonné aux tops 5 et tops 6 avec des quatrièmes places comme meilleurs résultats.

Une situation frustrante pour l'Espagnol, qui ne se sent pas à l'aise en entrée de virage, notamment, mais qui espère du mieux ce week-end en Allemagne grâce aux progrès effectués lors du test de Barcelone.

Néanmoins, à l'heure de devoir trouver un nouveau guidon pour 2023, ne pas être en mesure de se battre pour la victoire ou le podium pourrait jouer en sa défaveur, mais Mir reste persuadé que les équipes ne regardent pas seulement ça pour faire leur choix.

"Je crois que les décisions ne se prennent pas par rapport à deux ou trois courses, tout le parcours du pilote s'analyse. C'est clair que faire des résultats lors des courses [qui viennent] aide mais c'est le parcours du pilote qui joue le plus. S'il a eu un problème lors d'une ou deux courses, ça ne joue pas", a-t-il déclaré.

"Bien sûr qu'un titre compte mais il y a aussi d'autres choses. On ne peut pas toujours gagner ou être continuellement devant, je crois qu'on apprécie le caractère du pilote, en tout cas moi je l'apprécierais si j'étais team manager."

Le Champion du monde 2020 estime avoir pour lui une capacité d'adaptation qu'il a démontrée sur la GSX-RR et qui peut peser dans la balance à l'heure de rejoindre un autre constructeur et donc une moto complètement différente.

"Quand je suis arrivé chez Suzuki, la première année a été difficile parce que le style de la Suzuki n'était pas mon style naturel mais ensuite je me suis adapté et tout s'est bien passé. Tout ça m'a enseigné que même si la moto ne me correspondait pas totalement, j'ai réussi à la faire fonctionner. Je crois que là c'est pareil, avec du travail on pourrait être rapides avec d'autres motos", a-t-il expliqué.

"Je crois que chacun a un peu son idée sur ce dont il a besoin et catalogue les pilotes selon son avis. Ceux qui décident prennent ça en compte et ensuite analysent les caractéristiques de chaque ilote, ce qu'ils entendent dans le box de leurs propres pilotes, les caractéristiques de la moto et ils se font leur propre idée concernant le pilote avec lequel ça peut fonctionner. Je pense que les décisions se prennent plus ou moins comme ça."

Toutefois, alors qu'il se dit sur le point de signer chez Honda à la place de Pol Espargaró, le Majorquin continue d'affirmer que sa situation n'a pas changé "depuis la dernière course" et qu'il n'est pas encore en mesure de parler concrètement de son avenir.

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