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Le pari matinal de Jack Miller a payé

Le pilote australien a signé le meilleur temps de la première journée du Grand Prix de France, à la faveur d'un pari fait lors de la première séance avec les pneus slicks.

Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS

Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS

Gold and Goose / Motorsport Images

Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS
Jack Miller, Estrella Galicia 0,0 Marc VDS

L'an dernier, Jack Miller avait déjà prouvé ses capacités à s'illustrer dans des conditions de piste délicates, décrochant sa première victoire en MotoGP à Assen. Ce vendredi, sur un tracé manceau qui n'a pas été épargné par les averses, l'Australien a réussi un pari : celui de chausser les pneus slicks quand ses concurrents ne s'y risquaient pas. À la clé, le meilleur temps de la première séance. La pluie étant bien plus présente lors des EL2, le pilote Marc VDS a conservé la meilleure marque de la journée, en 1'37"467.

"Je suis vraiment heureux d'avoir pris le pari de mettre les slicks au moment où je l'ai fait ce matin, ça a payé pour nous", se réjouit-il à l'heure du bilan de la journée. Un pari qui sera totalement payant qu'à condition d'affronter de nouveau de la pluie demain lors des EL3, sans quoi tout pourrait être remis en cause. "J'espère", ne cache pas Miller. "Nous verrons quel sera le temps. On ne sait jamais ici, en France. Nous ferons de notre mieux et continuerons à travailler."

"Je me sentais à l'aise avec mon chrono, et je savais que j'avais une référence depuis ce matin. Je n'étais pas trop stressé. Ce matin, quand j'ai mis les slicks, j'étais vraiment calme, j'ai construit mon temps au tour, en allant de plus en plus vite. Je me sens bien en ce moment, très bien."

Lors des EL2, Miller a évolué à cinq secondes de son temps de la matinée, sur une piste détrempée et avec un ciel qui a de nouveau fait des siennes.

"C'était complètement trempé", décrit-il, "et à dix minutes de la fin, il a commencé à pleuvoir à nouveau un peu plus. Quand la pluie est revenue, j'avais déjà 25 tours avec mes pneus, je commençais à avoir beaucoup d'aquaplaning au virage 1, la moto bougeait beaucoup. Je suis rentré au stand, et avec cinq minutes restantes, j'ai dit 'Je ne peux pas mettre de nouveau train de pneus'."

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